Des millions dépensés à Charlotte pour une technologie unique de qualité de l’air

Publié le 16 octobre 2021 par Mycamer

Global Plasma Solutions, basé à Charlotte, a déclaré que sa recherche commandée montre que l’ionisation bipolaire à l’aiguille est efficace pour réduire le SRAS-CoV-2.

CHARLOTTE, NC – Avec la propagation de COVID-19, les dirigeants de la région de Charlotte cherchaient désespérément des moyens de limiter le risque de virus. Armés de fonds fédéraux pour aider, les districts scolaires de la région et la ville de Charlotte ont dépensé au total 7 millions de dollars pour une technologie de purification de l’air créée par une entreprise locale.

Mais les experts, citant un manque de recherche généralisée, pensent que la technologie a besoin de plus d’études.

Recherche commandée par Solutions plasmatiques mondiales (GPS) montre que les produits d’ionisation bipolaire à pointe d’aiguille (NPBI) de la société sont efficaces pour réduire le SRAS-CoV-2, mais certains experts en qualité de l’air ont déclaré au WCNC Charlotte que cela ne suffisait pas à les convaincre.

“Le bénéfice net n’est pas clair, disons-le ainsi”, a déclaré Glenn Morrison, professeur de sciences et d’ingénierie de l’environnement à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Morrison a déclaré qu’il s’inquiétait des effets inconnus sur la santé de la modification de la chimie d’une pièce.

“Je n’aime vraiment pas l’idée de mettre trop d’ions dans les bâtiments”, a-t-il déclaré. “Il n’y a pas assez d’informations sur l’impact de l’utilisation de ces appareils sur la qualité de l’air au total et aussi sur la fonction pulmonaire et des choses comme ça.”

OÙ EST L’ARGENT: Un groupe de police dit que payer pour travailler La sécurité du jeu des Panthers ne vaut pas le temps des agents

Lui et d’autres disent qu’il existe déjà des options de filtration éprouvées, comme les filtres HEPA et les filtres à air MERV 13.

“Commencez par penser aux technologies traditionnelles”, a déclaré Morrison. “Les nouvelles technologies ne sont pas éprouvées.”

Les agences gouvernementales font partie d’un groupe croissant qui a essayé la technologie alternative.

Un porte-parole de la ville de Charlotte a déclaré que la technologie, destinée à améliorer la qualité de l’air, y compris la protection contre la propagation du virus, se trouve à l’intérieur de chaque bâtiment exploité par la ville. La ville a investi 2,9 millions de dollars, la Charlotte Regional Visitors Authority a investi 1 million de dollars et l’aéroport international de Charlotte Douglas a dépensé 699 000 dollars supplémentaires en produits GPS. Ces coûts n’incluaient pas une garantie prolongée et un contrat de maintenance, selon le porte-parole.

Le conseil scolaire des écoles de Charlotte-Mecklenburg a approuvé à l’unanimité l’installation de la technologie en avril. CMS déclare avoir dépensé 1,7 million de dollars pour la technologie, qui était déjà installée dans les salles de classe à 37 écoles sans flux d’air extérieur. Un porte-parole de CMS a déclaré que l’installation était en cours sur un autre site. En attendant l’approbation du conseil d’administration, la CMS prévoit d’installer le NPBI dans des “zones plus grandes, sans salles de classe”, comme les gymnases, les cafétérias et les auditoriums dans ces mêmes 38 écoles.

Kannapolis City Schools rapporte que ses neuf campus disposent désormais de la technologie, pour un coût de 585 000 $. Les écoles du comté de Cabarrus, quant à elles, déclarent avoir dépensé environ 207 500 $ en NPBI dans huit écoles. Deux des écoles n’ont vu que des installations partielles.

GPS, situé dans un parc d’affaires sur Yorkmont Road, présente sa technologie NPBI comme un autre niveau de protection contre les pandémies. La société dit les appareils, installés dans les systèmes CVC existants, libèrent dans l’air des ions à faible énergie qui attirent les particules, ce qui les rend plus grosses et plus faciles à filtrer. Selon le GPS, la technologie désactive les agents pathogènes en même temps.

Tests par un laboratoire tiers embauché par l’entreprise a conclu que la technologie réduisait le SARS-CoV-2 de 98% en une heure à l’intérieur d’une chambre scellée, mais un clause de non-responsabilité sur les notes du site Web de GPS “L’utilisation de cette technologie n’est pas destinée à remplacer des précautions raisonnables pour empêcher la transmission de maladies.”

Les agences gouvernementales ne sont pas les seules à acheter la technologie. Les entreprises ont elles aussi investi. Les listes d’entreprises Santé Novant en tant que client et a déjà célébré le succès de NPBI dans un Charlotte Brasserie et CRVA dans des interviews à la caméra avec WCNC Charlotte avant le début du débat dans la communauté scientifique.

VÉRIFIER: Oui, il est généralement sans danger pour la faune de manger des citrouilles jetées

Le GPS a récemment refusé de répondre aux questions sur la caméra alors que des experts comme Bud Offermann continuent de parler de ce type de technologie. GPS poursuit la société Offermann à San Francisco pour diffamation après que l’ingénieur en environnement a averti l’année dernière « qu’il ne faut pas s’attendre à ce que les appareils aient un effet significatif sur les concentrations dans l’air ».

“Je maintiens ce que j’ai écrit”, a déclaré Offermann à WCNC Charlotte. “Mon message est assez clair : n’utilisez pas ces appareils. Beaucoup d’entre eux ne semblent pas faire grand-chose. J’ai présenté un appareil qui contenait le plus de données, mais tous ces appareils additifs étaient mon message.”

Delphine Farmer, professeure adjointe de chimie à la Colorado State University, est co-auteur d’un étude évaluée par des pairs Le GPS appelle “défectueux et incohérent”.

“Pour autant que nous le sachions, il a été démontré que ces appareils dans des environnements réels font très peu de choses”, a déclaré Farmer précédemment.

Farmer a déclaré que les recherches en cours en attente de publication continuent de valider la nécessité de davantage de recherches.

“Tout ce que nous avons trouvé de nouveau vient de confirmer nos premiers résultats”, a déclaré Farmer au WCNC Charlotte.

Le Dr Lyle Burgoon a partagé sa critique de la recherche de Farmer.

“C’est manifestement faux et extrêmement trompeur”, a déclaré Burgoon au WCNC Charlotte. “Nous ne pouvons pas vraiment faire confiance à cet article, mais il éclaire les opinions (des auteurs).”

Le toxicologue et ancien employé de l’US Army et de l’Environmental Protection Agency de Caroline du Nord est un expert en sécurité engagé par GPS. Il travaille également avec la Michigan State University.

“Sur la base de mes recherches, à mon avis d’expert, je n’ai vu aucune preuve qu’il y ait des problèmes ou des préoccupations de sécurité”, a déclaré Burgoon.

Un parent lui-même, il a déclaré que les écoles regorgent déjà de composés organiques volatils et que ces appareils ne soulèvent aucun signal d’alarme en matière de sécurité.

“Je n’aurais aucune inquiétude quant à l’installation de cette technologie dans les écoles (de mes enfants)”, a-t-il déclaré au WCNC Charlotte. « En fait, je serais ravie. »

Même ainsi, convient-il, il n’y a aucun mal à faire des recherches supplémentaires.

GPS dit qu’il s’est engagé dans la recherche.

“Peu de sociétés de purification de l’air, voire aucune, ont investi davantage dans la R&D et les tests (plus de 4 millions de dollars au cours de la seule année dernière) pour garantir la sécurité et l’efficacité de sa technologie”, a déclaré la société.

L’entreprise se tient derrière ses conclusions.

“Le GPS a effectué des tests substantiels dans des conditions de laboratoire très difficiles et étroitement surveillées, et ces tests ont montré que la technologie NPBI est sûre et efficace”, a déclaré un porte-parole.

GPS a également publié cette déclaration au WCNC Charlotte vendredi après-midi :

« La technologie révolutionnaire du GPS aide les communautés de Charlotte et de tout le pays à fournir en toute sécurité et efficacement un air intérieur plus pur dans les écoles, les bureaux et d’autres endroits sensibles. Plus d’une décennie de tests scientifiques rigoureux et de résultats concrets montrent que la technologie GPS est sûre et efficace. et apporte une couche de protection supplémentaire aux systèmes de filtration d’air multicouches à l’échelle du bâtiment.

Les inquiétudes concernant l’efficacité et la sécurité de notre approche unique de l’ionisation sont infondées et basées sur les résultats non concluants d’un seul rapport profondément erroné et truffé d’erreurs scientifiques importantes. Ces affirmations sont incompatibles avec les données et les informations issues de recherches et de tests approfondis sur les produits GPS et les résultats positifs des clients de 250 000 installations à travers le monde. »

Contactez Nate Morabito à nmorabito@wcnc.com et le suivre sur Facebook, Twitter et Instagram.

WCNC Charlotte demande toujours “où est l’argent ?” Si vous avez besoin d’aide, contactez l’équipe Defenders en envoyant un e-mail argent@wcnc.com.

Pour les dernières nouvelles, les alertes météo et de trafic, téléchargez l’application mobile WCNC Charlotte.



Global Plasma Solutions, basé à Charlotte, a déclaré que sa recherche commandée montre que l’ionisation bipolaire à l’aiguille est efficace pour réduire le SRAS-CoV-2.

CHARLOTTE, NC – Avec la propagation de COVID-19, les dirigeants de la région de Charlotte cherchaient désespérément des moyens de limiter le risque de virus. Armés de fonds fédéraux pour aider, les districts scolaires de la région et la ville de Charlotte ont dépensé au total 7 millions de dollars pour une technologie de purification de l’air créée par une entreprise locale.

Mais les experts, citant un manque de recherche généralisée, pensent que la technologie a besoin de plus d’études.

Recherche commandée par Solutions plasmatiques mondiales (GPS) montre que les produits d’ionisation bipolaire à pointe d’aiguille (NPBI) de la société sont efficaces pour réduire le SRAS-CoV-2, mais certains experts en qualité de l’air ont déclaré au WCNC Charlotte que cela ne suffisait pas à les convaincre.

“Le bénéfice net n’est pas clair, disons-le ainsi”, a déclaré Glenn Morrison, professeur de sciences et d’ingénierie de l’environnement à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill.

Morrison a déclaré qu’il s’inquiétait des effets inconnus sur la santé de la modification de la chimie d’une pièce.

“Je n’aime vraiment pas l’idée de mettre trop d’ions dans les bâtiments”, a-t-il déclaré. “Il n’y a pas assez d’informations sur l’impact de l’utilisation de ces appareils sur la qualité de l’air au total et aussi sur la fonction pulmonaire et des choses comme ça.”

OÙ EST L’ARGENT: Un groupe de police dit que payer pour travailler La sécurité du jeu des Panthers ne vaut pas le temps des agents

Lui et d’autres disent qu’il existe déjà des options de filtration éprouvées, comme les filtres HEPA et les filtres à air MERV 13.

“Commencez par penser aux technologies traditionnelles”, a déclaré Morrison. “Les nouvelles technologies ne sont pas éprouvées.”

Les agences gouvernementales font partie d’un groupe croissant qui a essayé la technologie alternative.

Un porte-parole de la ville de Charlotte a déclaré que la technologie, destinée à améliorer la qualité de l’air, y compris la protection contre la propagation du virus, se trouve à l’intérieur de chaque bâtiment exploité par la ville. La ville a investi 2,9 millions de dollars, la Charlotte Regional Visitors Authority a investi 1 million de dollars et l’aéroport international de Charlotte Douglas a dépensé 699 000 dollars supplémentaires en produits GPS. Ces coûts n’incluaient pas une garantie prolongée et un contrat de maintenance, selon le porte-parole.

Le conseil scolaire des écoles de Charlotte-Mecklenburg a approuvé à l’unanimité l’installation de la technologie en avril. CMS déclare avoir dépensé 1,7 million de dollars pour la technologie, qui était déjà installée dans les salles de classe à 37 écoles sans flux d’air extérieur. Un porte-parole de CMS a déclaré que l’installation était en cours sur un autre site. En attendant l’approbation du conseil d’administration, la CMS prévoit d’installer le NPBI dans des “zones plus grandes, sans salles de classe”, comme les gymnases, les cafétérias et les auditoriums dans ces mêmes 38 écoles.

Kannapolis City Schools rapporte que ses neuf campus disposent désormais de la technologie, pour un coût de 585 000 $. Les écoles du comté de Cabarrus, quant à elles, déclarent avoir dépensé environ 207 500 $ en NPBI dans huit écoles. Deux des écoles n’ont vu que des installations partielles.

GPS, situé dans un parc d’affaires sur Yorkmont Road, présente sa technologie NPBI comme un autre niveau de protection contre les pandémies. La société dit les appareils, installés dans les systèmes CVC existants, libèrent dans l’air des ions à faible énergie qui attirent les particules, ce qui les rend plus grosses et plus faciles à filtrer. Selon le GPS, la technologie désactive les agents pathogènes en même temps.

Tests par un laboratoire tiers embauché par l’entreprise a conclu que la technologie réduisait le SARS-CoV-2 de 98% en une heure à l’intérieur d’une chambre scellée, mais un clause de non-responsabilité sur les notes du site Web de GPS “L’utilisation de cette technologie n’est pas destinée à remplacer des précautions raisonnables pour empêcher la transmission de maladies.”

Les agences gouvernementales ne sont pas les seules à acheter la technologie. Les entreprises ont elles aussi investi. Les listes d’entreprises Santé Novant en tant que client et a déjà célébré le succès de NPBI dans un Charlotte Brasserie et CRVA dans des interviews à la caméra avec WCNC Charlotte avant le début du débat dans la communauté scientifique.

VÉRIFIER: Oui, il est généralement sans danger pour la faune de manger des citrouilles jetées

Le GPS a récemment refusé de répondre aux questions sur la caméra alors que des experts comme Bud Offermann continuent de parler de ce type de technologie. GPS poursuit la société Offermann à San Francisco pour diffamation après que l’ingénieur en environnement a averti l’année dernière « qu’il ne faut pas s’attendre à ce que les appareils aient un effet significatif sur les concentrations dans l’air ».

“Je maintiens ce que j’ai écrit”, a déclaré Offermann à WCNC Charlotte. “Mon message est assez clair : n’utilisez pas ces appareils. Beaucoup d’entre eux ne semblent pas faire grand-chose. J’ai présenté un appareil qui contenait le plus de données, mais tous ces appareils additifs étaient mon message.”

Delphine Farmer, professeure adjointe de chimie à la Colorado State University, est co-auteur d’un étude évaluée par des pairs Le GPS appelle “défectueux et incohérent”.

“Pour autant que nous le sachions, il a été démontré que ces appareils dans des environnements réels font très peu de choses”, a déclaré Farmer précédemment.

Farmer a déclaré que les recherches en cours en attente de publication continuent de valider la nécessité de davantage de recherches.

“Tout ce que nous avons trouvé de nouveau vient de confirmer nos premiers résultats”, a déclaré Farmer au WCNC Charlotte.

Le Dr Lyle Burgoon a partagé sa critique de la recherche de Farmer.

“C’est manifestement faux et extrêmement trompeur”, a déclaré Burgoon au WCNC Charlotte. “Nous ne pouvons pas vraiment faire confiance à cet article, mais il éclaire les opinions (des auteurs).”

Le toxicologue et ancien employé de l’US Army et de l’Environmental Protection Agency de Caroline du Nord est un expert en sécurité engagé par GPS. Il travaille également avec la Michigan State University.

“Sur la base de mes recherches, à mon avis d’expert, je n’ai vu aucune preuve qu’il y ait des problèmes ou des préoccupations de sécurité”, a déclaré Burgoon.

Un parent lui-même, il a déclaré que les écoles regorgent déjà de composés organiques volatils et que ces appareils ne soulèvent aucun signal d’alarme en matière de sécurité.

“Je n’aurais aucune inquiétude quant à l’installation de cette technologie dans les écoles (de mes enfants)”, a-t-il déclaré au WCNC Charlotte. « En fait, je serais ravie. »

Même ainsi, convient-il, il n’y a aucun mal à faire des recherches supplémentaires.

GPS dit qu’il s’est engagé dans la recherche.

“Peu de sociétés de purification de l’air, voire aucune, ont investi davantage dans la R&D et les tests (plus de 4 millions de dollars au cours de la seule année dernière) pour garantir la sécurité et l’efficacité de sa technologie”, a déclaré la société.

L’entreprise se tient derrière ses conclusions.

“Le GPS a effectué des tests substantiels dans des conditions de laboratoire très difficiles et étroitement surveillées, et ces tests ont montré que la technologie NPBI est sûre et efficace”, a déclaré un porte-parole.

GPS a également publié cette déclaration au WCNC Charlotte vendredi après-midi :

« La technologie révolutionnaire du GPS aide les communautés de Charlotte et de tout le pays à fournir en toute sécurité et efficacement un air intérieur plus pur dans les écoles, les bureaux et d’autres endroits sensibles. Plus d’une décennie de tests scientifiques rigoureux et de résultats concrets montrent que la technologie GPS est sûre et efficace. et apporte une couche de protection supplémentaire aux systèmes de filtration d’air multicouches à l’échelle du bâtiment.

Les inquiétudes concernant l’efficacité et la sécurité de notre approche unique de l’ionisation sont infondées et basées sur les résultats non concluants d’un seul rapport profondément erroné et truffé d’erreurs scientifiques importantes. Ces affirmations sont incompatibles avec les données et les informations issues de recherches et de tests approfondis sur les produits GPS et les résultats positifs des clients de 250 000 installations à travers le monde. »

Contactez Nate Morabito à nmorabito@wcnc.com et le suivre sur Facebook, Twitter et Instagram.

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