Le pauvre. Enfin le pauvre. C'est vite dit. Il est conscient, pire, il ne fait rien contre. De toute façon, à quoi bon. Et quand je dis pire, on se comprend. Depuis mai 68 le statut du mâle dominant décline, les femmes prennent (doucement mais sûrement) leur revanche de tant d'années d'oppression. Le pire c'est qu'on n'a rien vu, ou presque. Ah, y a pas à dire, elles savent faire preuve de ruse, pour parvenir à leurs fins. Depuis le droit de vote, rien ne les arrête. Ce serait donc vrai...
Pourquoi ne peut-on plus regarder un film porno quand on veut, se gaver d'émissions 100% masculines en mangeant des marrons suis', sortir avec ce bon vieux René, célibataire par choix et coureur de jupons par vocation ? Ah c'est plus simple chez les mafieux, un seul regard et toutes les femmes de la maison virent dans la cuisine, où les hommes savent ce que ça veut dire d'être un homme, où on fume, boit et mange sans jamais craindre pour ses poumons, ses artères. Inutile d'essayer. Elle l'obligerait à manger surgelés pendant des mois, ne laverait plus son linge. Refuserait tout rapprochement trop intime. C'est toujours elle qui a le…