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Critique de livre : roman peint le portrait de l’artiste « Mona Lisa », sujet, effort de préservation | Arts

Publié le 03 octobre 2021 par Mycamer





La dame volée

La dame volée

Par DAVID ARNDT POUR LE FREE LANCE–STAR

La « Joconde » de Léonard de Vinci est incontestablement l’une des œuvres d’art les plus célèbres conservées au Louvre. La beauté du modèle, le sourire sournois, presque timide, et le cadre artistique créatif ont amené des visiteurs incalculables au musée. Aussi enchanteresse que soit la peinture, son histoire est également intrigante. Dans « The Stolen Lady » de Laura Morelli, l’auteur présente deux histoires du passé de l’œuvre d’art : l’époque de sa création et le danger qu’elle a couru pendant la Seconde Guerre mondiale.

Peu avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Anne Guichard, archiviste au Louvre, et d’autres membres du personnel travaillent à cataloguer, sécuriser et déplacer des objets inestimables dans des résidences en dehors de la capitale. Alors que la guerre se profile à l’horizon, l’état-major est terrifié à l’idée que les forces allemandes envahissent la ville et pillent le contenu du Louvre. Laissant derrière elle sa mère après la disparition soudaine de son frère, Anne est déterminée à accompagner la « Joconde » et à la protéger des forces ennemies. Elle et son équipe travaillent sans relâche pour déplacer les créations inestimables de château en château, de musée en musée, essayant de garder une longueur d’avance sur les Allemands.

L’autre moitié de l’histoire commence à Florence, 1479, et elle est racontée à travers le point de vue de da Vinci et de la servante Bellina Sardi, la servante de Lisa Gherardini. L’artiste décrit ses ambitions de faire plus que peindre, d’être un inventeur et un architecte. Frustré par son père et ses contemporains, il peine à se définir alors qu’il tente de devenir un véritable maître de la Renaissance. Il prend sans enthousiasme la commission de peindre la Lady Lisa, considérant tristement qu’un autre portrait d’une autre noble dame ne le rendra jamais célèbre. Bellina, d’autre part, ressent d’abord sa position dans la maison, mais finit par se rendre compte de son importance et de son dévouement envers sa maîtresse. Une fois que la tragédie est entrée et a surmonté la vie de Lisa, Bellina est prête à tout pour l’aider à soulager ses problèmes.






La dame volée

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Par DAVID ARNDT POUR LE FREE LANCE–STAR

La « Joconde » de Léonard de Vinci est incontestablement l’une des œuvres d’art les plus célèbres conservées au Louvre. La beauté du modèle, le sourire sournois, presque timide, et le cadre artistique créatif ont amené des visiteurs incalculables au musée. Aussi enchanteresse que soit la peinture, son histoire est également intrigante. Dans « The Stolen Lady » de Laura Morelli, l’auteur présente deux histoires du passé de l’œuvre d’art : l’époque de sa création et le danger qu’elle a couru pendant la Seconde Guerre mondiale.

Peu avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Anne Guichard, archiviste au Louvre, et d’autres membres du personnel travaillent à cataloguer, sécuriser et déplacer des objets inestimables dans des résidences en dehors de la capitale. Alors que la guerre se profile à l’horizon, l’état-major est terrifié à l’idée que les forces allemandes envahissent la ville et pillent le contenu du Louvre. Laissant derrière elle sa mère après la disparition soudaine de son frère, Anne est déterminée à accompagner la « Joconde » et à la protéger des forces ennemies. Elle et son équipe travaillent sans relâche pour déplacer les créations inestimables de château en château, de musée en musée, essayant de garder une longueur d’avance sur les Allemands.

L’autre moitié de l’histoire commence à Florence, 1479, et elle est racontée à travers le point de vue de da Vinci et de la servante Bellina Sardi, la servante de Lisa Gherardini. L’artiste décrit ses ambitions de faire plus que peindre, d’être un inventeur et un architecte. Frustré par son père et ses contemporains, il peine à se définir alors qu’il tente de devenir un véritable maître de la Renaissance. Il prend sans enthousiasme la commission de peindre la Lady Lisa, considérant tristement qu’un autre portrait d’une autre noble dame ne le rendra jamais célèbre. Bellina, d’autre part, ressent d’abord sa position dans la maison, mais finit par se rendre compte de son importance et de son dévouement envers sa maîtresse. Une fois que la tragédie est entrée et a surmonté la vie de Lisa, Bellina est prête à tout pour l’aider à soulager ses problèmes.

— to fredericksburg.com


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