Oreste tourmenté par l'érinye
Qui sans relâche le poursuit
Femme ailée ange de fureur
Mégère horrible de terreur
Qui emportée par la hargne
Sur lui sans cesse s’acharne,
Elle le harcèle féroce harpie
A le déchiqueter en charpie
Par ce que de sa culpabilité la tumeur,
Est livrée à jamais à ce volatil de malheur.
A invoquer au ciel un Dieu sauveur
Peut-être mettra fin à cette horreur,
Avant qu’elle ne lui arrache le coeur,
Alors, les Suppliantes rendront grâce au Rédempteur.
JC Tannenbaium directeur de la station d’art météorologique.