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...focalisations bornées

Publié le 31 juillet 2008 par Eno

Foudroyé d’amertume ? C’est que nous nous laissons aller. C’est que l’on nous y a éduqué – et les mieux dressés sont fiers des médailles amassées aux dépends de leurs fiertés ; Et les mieux éduqué se feront éducateurs – armés de manuels de matraques ou de marteaux, il sauront courber vos échines arrogantes : c’est qu’il y a posture à tenir devant ceux qui de leurs orgueils bien intentionnés, cherchent à nous replacer dans le droit chemin !

Fier mais les mains liés ? il va falloir aiguiser nos dents, muscler nos mâchoires.

Notre chose à soi est une machinerie complexe, il est sage d’en connaître quelques habitudes. Je parle ici avec Spinoza, et veux dire que nous sommes impuissant lorsque nous ne savons pas les véritables causes de nos tristesses : nous sommes doublement triste et doublement malade d’être triste et de se figurer une fausse raison à notre état. Certes, je ne parle pas vraiment avec spinoza, ne parviens pas m’expliquer. Passons

Pétitions de principes. C’est comme cela que nous avançons ? Les unes contre les autres, et que les plus vindicatives optiennent victoires ?!

Il faudrait savoir parler, savoir discuter… Qui sait réfléchir à plusieurs, qui sait converser ? Tout piètrement enfermer dans nos monologues saturés d’idées étiolées mais fièrement affirmées… Sait on échanger des idées, autrement que par un media ? Faut-il œuvrer à quelconques messages artistiques pour pouvoir communiquer ?

Focalisations borné c’est que nous constituons, c’est que nous nous identifions à partir de ces idées qui emplissent nos discours, qui font chanter nos voix et fermer nos oreilles… Se forme t on sans fermer ses oreilles ? Comment les rouvre t on ? Les rouvre t on ? Ne sommes nous pas perdus d’avance a laisser courir dans les couloirs infernaux de notre consciences les multiples discours inconciliables parmi lesquels nous ne serons trancher sans recours à quelques principes bornés ? C’est que nous cherchons toujours a nous décider : nous ne réfléchissons que pour pouvoir cesser de le faire, et passer à l’action qui alors aura trouvé son guide inconditionnel. Est-ce vrai ? Sommes nous condamner a si pathétique posture ? Mais comment en sortir, de nos discours tout tranchés, de nos repères, des direction accepter a partir desquels on oriente notre regards, nos gestes nos actes et nos pensées.


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