« S’il arrive un malheur, nous le braverons ensemble »
Et si je vis à tes crochets
Une même passion nous unit
Sur mon chemin solitaire
Dans une campagne noire de corbeaux
Je te chercherai toujours, mon frère
Les reflets cuivrés de tes mèches
Ton sourire et ta main guidant ma palette
Et si je dois y mettre un terme
Laissons se consumer les champs de blé d’Auvers
Oublions Gauguin, Paris et ses galeries
Gisons côte à côte
Ensemble et sereins