Choisir une escort girl vaccinée, c’est possible ❤️

Publié le 15 septembre 2021 par Guillaume Frechin @LHommeTendance

À Genève, il y en a certaines qui ne se laissent pas abattre pendant la pandémie. Dès l’instant où la vaccination s’est mise en place, la plateforme de rencontres érotiques suisse BemyGirl a devancé tous ses concurrents. Elle propose désormais à sa clientèle des escort girls… vaccinées. De quoi laisser le choix pour vivre une expérience en toute sécurité.

Une clientèle méfiante

« Dubitative voire craintive », voici des mots qui résument la mentalité actuelle des clients de la prostitution en Europe. En ces termes, le communiqué de BemyGirl du 15 aoû​t 2021 donne le ton. Le flux des rencontres diminue depuis le début de la crise sanitaire de la Covid-19. Rien d’étonnant pendant le confinement, nous direz-vous, puisque de nombreuses travailleuses du sexe indépendantes ont d’elles-mêmes stoppé leur activité par mesure citoyenne. Pour limiter la propagation du coronavirus, les salons de massage et les bars à danseuses, de leur côté, ont dû fermer par obligation gouvernementale. Entre l’annonce de la pandémie et la réouverture des lieux de prostitution, c’est le sexe virtuel qui a servi de substitut à tous les habitués. Fun fact : il a même été recommandé par certains ministères de la Santé, comme ça a été le cas en Argentine. Afin d’éviter que les gens se rencontrent en personne, on les invitait plutôt à pratiquer le sexting et à tourner des vidéos coquines en attendant la levée des mesures sanitaires.

Alors le sexe et le confinement, c’est compatible ? On aurait tendance à répondre que oui, mais d’une manière différente. L’industrie du sexe a bien profité à certains, clients comme commerciaux. On pense au marché de la pornographie et des sextoys, qui a explosé pendant la pandémie. Mais le sexe virtuel peut avoir des effets destructeurs sur la personne qui en consomme en quantité. Il entraîne de la frustration et, à force, donne faim d’un véritable contact physique. C’est pourquoi, dès la réouverture des commerces et le déploiement de la vaccination, on s’est à nouveau tourné vers la prostitution en face à face. À la différence qu’après des mois enfermé chez soi, qu’on avait quelques réticences à la rencontre physique, à l’extérieur, avec un inconnu.

Une plateforme de rencontres authentique

Face à la crainte de ses clients, une start-up a réagi au quart de tour. Elle s’appelle BemyGirl, existe depuis 2012 et se déniche sur les pages web du pays emblématique du chocolat (on rappelle qu’en Suisse, la prostitution est une activité légale). C’est une plateforme qui met en relation des escort girls indépendantes avec des clients pour des rencontres sensuelles physiques, chez la travailleuse ou à l’hôtel. À Genève, Zurich, Vaud, Valais ou Neuchâtel, il est possible de filtrer la page par région, service, langue, â​ge et autres caractéristiques physiques pour trouver le match parfait. Leurs particularités ? En voici trois premiers qui devraient vous plaire :

  • Aucun intermédiaire ! Contrairement à de nombreuses agences et sites web, BemyGirl vit grâce à la publication des profils uniquement. La start-up ne reçoit aucune commission sur le montant perçu de l’escort girl. Les travailleuses se gèrent en totale indépendance sur la plateforme digitale.
  • Une équipe de photographes professionnels crée le profil de toutes les escort girls lors d’un shooting photo chez elle. Le client a ainsi la garantie que l’hôtesse qu’il aura choisie correspond bien à celle montrée sur leur page du site. Toutes les femmes sont représentées dans un souci d’élégance et de dignité. Les photos érotiques sont respectueuses des travailleuses, en accord avec elles.
  • Les escort girls et masseuses qui portent la mention spéciale « Premium » (sous forme de « check » à côté du nom) offrent des prestations d’un niveau de qualité supérieure. Autre point qui peut avoir son importance : les photos sur leur profil datent de moins d’un an.

Et pour la cerise sur le gâteau (ou sur le carré de chocolat suisse), voici la toute dernière exclusivité de la plateforme : le certificat Covid.

BemyGirl, le choix de l’escort girl vaccinée

Qu’est-ce que ça signifie ? Que les travailleuses sont vaccinées du coronavirus. Comme l’Office Fédéral de la Santé Publique le précise, ces certificats Covid sont établis en Suisse depuis le 7 juin 2021. Ils prouvent que la personne est vaccinée, guérie d’une infection ou testée négative. Il est émis en version mobile (via un QR code), PDF ou papier.

Lors du casting d’escort girl, l’équipe de BemyGirl propose à la future hôtesse de mentionner le fait qu’elle est vaccinée sur la plateforme. Si elle l’accepte, le symbole du « Certificat Covid contrô​lé par BemyGirl » (un virus dessiné dans un bouclier bleu) s’affiche à côté de son nom. Le client peut également filtrer par mention, afin de se concentrer uniquement sur les filles vaccinées contre le coronavirus.

Rien n’est obligatoire, ni pour le client, ni pour l’escort. C’est néanmoins un plus qui permet de travailler en sécurité et en confiance. Et c’est une méthode récente qui a déjà fait ses preuves. Les premiers résultats en quelques chiffres. Depuis que cette mention « Certificat Covid » est en place sur la plateforme, BemyGirl connaît une augmentation de 40 % de nouvelles demandes de casting. D’après le communiqué du 15 août, la start-up assure même avoir atteint un record de 9 000 visiteurs uniques sur une seule journée, avec une hausse de 25 % de visites depuis le début de la campagne de vaccination. Bref, les rencontres érotiques en personne, ça fonctionne même pendant la pandémie. Il suffit de se mettre au goût du jour, et BemyGirl est l’avant-gardiste qui permet à un marché de perdurer malgré la crise.