« La méthode de Nicolas Sarkozy, c'est de parler, de faire de l'incantation, de l'agitation, mais au moment des faits, c'est finalement de se soumettre ». C’est marqué dans le Figaro qui n’a pas tort (mais je triche un peu).
Nous en sommes à 14 mois d’agitation, de prétendues réformes, … mais rien. Un chômage qui monte, une inflation qui galope parallèlement à la précarité qui s’accroit et les salaires qui stagnent. Sans parler de mon problème d’hémorroïdes que je ne peux décemment par imputer à notre gouvernement sauf pour ce qui concerne la sécurité sociale qui est en cours de démantèlement.
Je plaisante. Je n’ai pas d’hémorroïdes mais un fessier exemplaire (notre illustration).
Je vois des blogueurs de droite qui s’apprêtent à me répondre que la catastrophe économique que nous vivons actuellement est conjoncturelle, mondiale et que je ne devrais pas l’imputer à la politique de Nicolas Sarkozy.
Si. Je le fais sans la moindre vergogne. Il
Il s’est planté. Qu’il reste en vacances au Cap Nègre et qu’on arrête de nous prendre pour les imbéciles que nous sommes d’ailleurs probablement. Nous votons.