Sonyles (ré)sorties récentes et à venir de Fantôme de Tsushima et Échouement de la mort car les coupes du réalisateur ont déclenché une série de discussions en ligne sur l’efficacité d’une telle image de marque dans l’industrie du jeu vidéo et à quoi ressembleraient les effets à long terme si les studios devaient l’adapter en tant que tendance marketing.
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Le terme lui-même est indubitablement dérivé de l’industrie cinématographique, et l’intérêt accru récent de Sony est probablement influencé par le succès fou des rééditions cinématographiques telles que Ligue de justice de Zack Snyder sur HBO Max. Cependant, le recul suggère que les jeux vidéo peuvent déjà avoir une “coupure du réalisateur” dans leurs DLC et leurs extensions. Néanmoins, le sujet controversé apporte une série d’opportunités et d’embûches pour l’avenir du jeu.
dix Bon : ajoute de nouvelles mises à jour de contenu et de qualité de vie
L’essentiel est le suivant : les développeurs de jeux ne seraient pas en mesure de faire recirculer efficacement un jeu si rien n’était ajouté au jeu de base. Même les célèbres rééditions de Bethesda de The Elder Scrolls, Skyrim ne sont jamais sans contenu additif, avec la prochaine édition du 10e anniversaire qui comprendra également plus de 500 pièces du Creation Club.
De même, les coupes du réalisateur comportent du contenu supplémentaire et des mises à jour de la qualité de vie, certaines coupes allant jusqu’à l’ajout d’extensions complètes. Le récemment réédité Fantôme de Tsushima, par exemple, présente l’expansion bien accueillie d’Iki Island. D’autres coupes, comme Échouement de la mort, ont le potentiel d’attirer le public avec des fonctionnalités telles qu’une piste de course nouvellement ajoutée.
9 Pas bon : peut être une excuse pour l’exclusivité de la console
Malheureusement, les coupes du réalisateur offrent également une autre opportunité aux studios de soudoyer les joueurs pour qu’ils investissent dans la nouvelle génération de consoles. Alors que la PS5 et Xbox série X sont sortis depuis près d’un an maintenant, trop peu de titres exclusifs à la génération AAA sont tombés sur les plates-formes jusqu’à présent pour justifier le saut pour de nombreux PS4 et les joueurs Xbox One.
L’accent mis sur les coupes du réalisateur peut finalement détourner du temps et des ressources des jeux exclusifs comme Horizon Zéro Aube et Dieu de la guerre qui définissent les générations de console. Au lieu des suites passionnantes que les fans réclament depuis longtemps, l’exclusivité des coupes du réalisateur, comme Échouement de la mort— laisser les joueurs marcher dans des eaux familières.
8 Bon : offre plus de contenu qu’un remaster typique
Souvent, lorsqu’un studio annonce un remasterisation ou un remake d’un classique bien-aimé, la plupart des fans peuvent généralement s’attendre à peu de nouveau contenu de la réédition. Certes, il y a des exceptions comme l’extase Remake de Final Fantasy VII qui complètement réinvente le jeu à partir de zéro, mais ils sont peu nombreux.
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En fin de compte, les fans s’attendent à une refonte de la même histoire avec une nouvelle couche de peinture (et parfois un framerate amélioré) dans un remaster et un remake. Les coupes du réalisateur, cependant, suggèrent quelque chose d’un peu plus ambitieux. Avec l’ajout de fonctionnalités d’accessibilité telles que les modes photo et les options de performances sélectionnables, les coupes du réalisateur peuvent étendre les entrées plus anciennes de manière inédite.
7 Pas bon : juste un autre nom pour les DLC et les packs d’extension
Peut-être que l’un des aspects les plus apparents contre le besoin d’une tendance à la coupe d’un réalisateur dans les jeux vidéo est que l’industrie a déjà un nom pour le contenu ajouté aux jeux de base : DLC et/ou packs d’extension. Comme les films, le contenu additif n’est pas quelque chose de nouveau pour les jeux, alors qu’est-ce que le rebranding ?
Il y a un argument à faire valoir pour que les coupes du réalisateur se différencient de DLC autonomes et extensions; ils sont également censés optimiser et tisser de nouveaux éléments dans le jeu de base. Pourtant DLC et extensions comme Intergrade pour Refaire et Rappeler pour Kingdom Hearts III le font déjà, ce qui rend les coupes du réalisateur un peu plus qu’une redondance dans les rééditions.
6 Bon : donne aux studios plus de temps pour réaliser leur vision
En tant que forme de divertissement, les jeux vidéo sont une œuvre d’art. Cela signifie que le développement d’un jeu n’est jamais vraiment terminé ; le processus est dynamique et change constamment à mesure que quelque chose passe d’un concept ou d’une idée à un jeu à part entière. Par conséquent, il y a toujours quelque chose ici ou là qui pourrait être ajusté pour rendre le jeu meilleur.
Dans l’industrie du jeu, de tels ajustements sont souvent le résultat de bugs et de problèmes. Ceci, cependant, n’est pas nécessairement exact tout le temps. Alors que les commentaires et les tests bêta permettent aux développeurs d’améliorer leurs jeux, parfois un studio ne peut pas réaliser sa vision d’un jeu en raison des délais ; les coupes du réalisateur sont donc un remède approprié pour aider les développeurs à réaliser leur vision.
5 Pas bon : ce n’est pas vraiment la vraie vision du réalisateur
Suite à l’annonce de la coupe du réalisateur de Échouement de la mort au Summer Game Fest de Geoff Keighley en juin, le directeur de jeu de renommée mondiale Hideo Kojima s’est adressé à Twitter pour discuter de son scepticisme quant au titre du jeu, suggérant plutôt qu’il s’appelle “Delector’s Plus” pour mieux représenter que le nouveau contenu a été produit pour la réédition .
Dans le tweet initial, Kojima explique que parce que les “coupures du réalisateur” sont dérivées du film, elles sont censées représenter les modifications supplémentaires qu’un réalisateur apporte à son film après sa sortie pour réaliser sa vraie vision. Cependant, l’industrie du jeu a réutilisé le mot, ce qui signifie que le terme ne représente plus la vision originale d’un directeur de jeu comme il le suggère.
4 Bon : présente l’opportunité d’inclure du contenu coupé
Conformément aux pensées de Kojima, le potentiel pour les coupes de jeux vidéo du réalisateur de présenter spécifiquement du contenu coupé est certainement là. Bien que remasterisé en 2018, celui de Hidetaka Miyazaki Âmes sombres– connu pour sa difficulté– fonctionne comme un excellent candidat pour une coupe de réalisateur, avec un certain nombre de monstruosités difficiles laissées sur le sol de la salle de montage.
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Et, tandis que les fans aspirent constamment à de nouveaux contenus ou à la prochaine suite, il existe une opportunité nostalgique de revisiter les vieux mondes et histoires. Les jeux n’ont pas besoin d’être entièrement repensés comme Remake de Final Fantasy VII apporter quelque chose de nouveau à la table, car quelque chose comme les coupes du réalisateur peut également offrir la chance de présenter des histoires plus complètes.
3 Pas bon : une tentative flagrante de copier l’industrie du cinéma
L’un des pires regards pour l’industrie du jeu vidéo est la tentative flagrante de copier le succès que l’industrie du cinéma a rencontré avec les coupes des réalisateurs. Alors que le récent succès de la Snyder Cut est d’une influence notable, réussie (et infructueuse) les coupes du réalisateur dans l’industrie cinématographique existent depuis un certain temps, comme la coupe du réalisateur de 1992 du film de Ridley Scott de 1982 Coureur de lame.
Ce qui rend cette tentative de copie si mauvaise, cependant, c’est qu’elle délégitime les jeux en tant que forme d’art égale à celle du cinéma. Il y a longtemps qu’il y a eu un besoin tacite de prouver la validité artistique des jeux – les coupes du réalisateur sapent ces efforts en suggérant que les jeux doivent utiliser les pratiques de tournage comme proxy pour être considérés comme du “vrai art” dans l’industrie du divertissement.
2 Bon : les studios peuvent prendre en compte les commentaires de la communauté
À l’inverse, l’un des meilleurs aspects des coupes de réalisateur est qu’il s’agit d’une seconde chance d’obtenir un produit « correct » parmi sa base de consommateurs. Bien que ce trait s’applique à l’industrie du cinéma, il s’applique encore plus à l’industrie du jeu, en particulier compte tenu de leur nature interactive et de leurs fonctionnalités multijoueurs.
La communication avec les communautés de joueurs est la clé du succès d’un jeu. Malgré le lancement catastrophique d’Electronic Arts’ 2017 Star Wars : Battlefront II, le jeu a finalement trouvé le succès dans ses modes multijoueurs car EA a écouté sa base de joueurs, s’est ajusté en conséquence et a maintenu un flux cohérent de contenu nouveau et passionnant.
1 Pas bon : met l’accent sur le réalisateur sur le reste du studio
Peut-être que la pire chose à propos du titre “Director’s Cut” est le nom lui-même – essence vin, cela implique que le réalisateur est seul responsable de la vision d’un jeu. Bien que diriger des légendes comme Hideo Kojima, Shigeru Miyamoto et Tetsuya Nomura mérite à juste titre le crédit qu’ils ont gagné au fil des ans, ils ne l’ont certainement pas fait seuls.
Pourtant, à travers les innombrables sorties et rééditions de plusieurs franchises à succès qui ont transformé leurs sociétés respectives en empires du jeu, ces personnes sont devenues l’équivalent du jeu des auteurs. Les coupes du réalisateur ne font que renforcer cela et approfondir une culture de développement de jeux qui est inondée de surmenage, de temps de crise et de perfection.
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A propos de l’auteur
Dylan Candelora
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Dylan Candelora est un rédacteur de listes pour CBR qui écrit principalement sur les jeux vidéo, mais est également passionné par tout ce qui concerne le MCU et Star Wars. Bien qu’il ait vendu son cœur et son âme à Kingdom Hearts, qu’il soit devenu un Nobody et qu’il ait rejoint l’Organisation, Dylan entretient également un amour profond pour Fire Emblem et Final Fantasy VII. Lorsqu’il n’est pas obsédé par les jeux, on peut le trouver en train de courir dans son parc local ou de surfer sur le Web pour des vidéos de chats.
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