La décision de la cour constitutionnelle turque de ne pas interdire le parti AKP au pouvoir permet de préserver les négociations engagées entre l'UE et Ankara, a déclaré le secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes Jean-Pierre Jouyet.
"Cette décision peut être qualifiée d'assez positive, cela constitue un soulagement".
"il n'y a pas de remise en cause des négociations telles qu'elles existent".
La France, qui assure jusqu'en décembre la présidence de l'Union européenne, entend rester "objective, neutre et impartiale à l'égard de la Turquie". Paris souhaite "poursuivre les négociations en vue d'ouvrir deux, voire trois chapitres d'ici à la fin de l'année".
Exit la promesse de Sarkozy. Sans complexe.