216 Cléopâtre – alias l’astéroïde en os de chien – pourrait pattes-bien être l’objet le plus mignon dans le Ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter. C’était l’un des premiers astéroïdes à être découvert, en 1880. Mais les astronomes l’ont qualifié de OS de chien Il y a 20 ans, lorsque les observations radar à l’observatoire d’Arecibo ont révélé ses deux lobes et son «cou» épais. Astronome Franck Marchis du SETI Institute de Mountain View, en Californie, a dirigé l’équipe qui a capturé les images les plus nettes et les plus détaillées à ce jour de Cléopâtre (ci-dessus).
L’Observatoire européen austral a publié les images cette semaine (9 septembre 2021) et a déclaré que les nouvelles observations ont amené les astronomes à réaliser cela. aller chercher l’astéroïde est un peu fraise sur les bords. Ce n’est peut-être rien de plus qu’un gros tas de gravats qui a perdu certains de ses cailloux, mais a gagné deux lunes.
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Les astronomes ont publié deux nouvelles études sur Cléopâtre, l’une sur 19 mai et l’autre sur 16 août, dans le Évalués par les pairs journal Astronomie et astrophysique.
Les scientifiques ont utilisé les ESO Très grand télescope pour voir Cléopâtre, qui, au plus près, se trouve à moins de 125 millions de miles (200 millions de km) de la Terre. C’est comme essayer de voir une balle de golf à une distance de 40 km.
Un astéroïde en forme d’os de chien dégringole dans l’espace
Le Very Large Telescope de l’ESO a pris les images présentées ici entre 2017 et 2019. La gamme d’images permet aux astronomes de voir l’astéroïde alors qu’il dégringole dans l’espace, révélant différents angles et leur permettant de créer des modèles 3D de Cléopâtre. Ils ont découvert que l’un des lobes était plus gros que l’autre. Ils ont également constaté que la longueur totale de l’astéroïde est de 167 miles (270 km). Pour comparer la taille, les scientifiques ont créé des images de ce à quoi ressemblerait Cléopâtre planant au-dessus de la Terre au-dessus de l’Italie et du Chili.
Marchis, le chef d’équipe d’une des études, décrit l’intérêt d’étudier un objet insolite comme Cléopâtre :
Cléopâtre est vraiment un corps unique dans notre système solaire. La science fait beaucoup de progrès grâce à l’étude des valeurs aberrantes étranges. Je pense que Cléopâtre en fait partie, et comprendre ce système complexe et multiple d’astéroïdes peut nous aider à en apprendre davantage sur notre système solaire.
Cléopâtre et ses lunes
Cléopâtre, du nom de la reine égyptienne, n’est pas seule car elle orbite autour du soleil dans la ceinture d’astéroïdes. Deux lunes orbitent autour d’elle : AlexHelios et CleoSelene, que les scientifiques ont nommés pour les vrais jumeaux fraternels de la reine.
Miroslav Bros de l’Université Charles de Prague, en République tchèque, était l’auteur principal de l’autre étude sur Cléopâtre. Son équipe a utilisé les nouvelles observations pour trouver les orbites correctes des lunes. Des études antérieures ont produit des orbites qui ne correspondaient pas aux observations. Bros a dit :
Cela devait être résolu, car si les orbites des lunes étaient fausses, tout était faux, y compris la masse de Cléopâtre.
Son équipe a résolu le problème en utilisant les nouvelles observations et modélisations pour découvrir l’influence gravitationnelle de Cléopâtre sur le mouvement des lunes. Une fois les orbites des satellites définies, les astronomes ont pu calculer la masse de Cléopâtre. Ils ont constaté que sa masse était 35% inférieure aux estimations précédentes. Avec les estimations de volume et de masse, les scientifiques ont ensuite pu estimer la densité, qui était également inférieure à ce que l’on croyait auparavant.
Les scientifiques pensent maintenant que Cléopâtre n’est rien de plus qu’un tas de décombres, formé de matériaux qui ont subi un impact géant. Ils ont réalisé que si l’astéroïde tournait beaucoup plus vite, il commencerait à s’effondrer. En fait, l’équipe de Marchis pense que c’est ainsi que les lunes de Cléopâtre sont nées, à partir de morceaux de l’astéroïde qui ont été arrachés lors de petits impacts. Les cailloux dépouillés ont finalement fusionné pour former les deux lunes.
Observations futures
Les observations actuelles, faites avec le Very Large Telescope de l’ESO, ont utilisé l’avance optique adaptative systèmes. Ces systèmes corrigent l’effet de l’atmosphère terrestre, qui autrement déformerait et brouillerait l’image résultante.
Les scientifiques sont enthousiasmés par les perspectives du plus récent observatoire de l’ESO, le Télescope extrêmement grand, prévu pour 2027. En tant que “plus grand œil du monde sur le ciel”, il sera idéal pour imager Kleopatra et d’autres objets difficiles. Comme l’a dit Marchis :
J’ai hâte de pointer l’ELT sur Cléopâtre pour voir s’il y a plus de lunes et affiner leurs orbites pour détecter de petits changements.
Conclusion : Kleopatra, l’astéroïde en os de chien, révèle sa taille et sa composition dans de nouvelles images publiées par l’ESO.
Source : Un modèle multipolaire avancé pour le système triple (216) Kleopatra
Source : (216) Kleopatra, un astéroïde de type M en rotation critique de faible densité
Via l’ESO
.
216 Cléopâtre – alias l’astéroïde en os de chien – pourrait pattes-bien être l’objet le plus mignon dans le Ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter. C’était l’un des premiers astéroïdes à être découvert, en 1880. Mais les astronomes l’ont qualifié de OS de chien Il y a 20 ans, lorsque les observations radar à l’observatoire d’Arecibo ont révélé ses deux lobes et son «cou» épais. Astronome Franck Marchis du SETI Institute de Mountain View, en Californie, a dirigé l’équipe qui a capturé les images les plus nettes et les plus détaillées à ce jour de Cléopâtre (ci-dessus).
L’Observatoire européen austral a publié les images cette semaine (9 septembre 2021) et a déclaré que les nouvelles observations ont amené les astronomes à réaliser cela. aller chercher l’astéroïde est un peu fraise sur les bords. Ce n’est peut-être rien de plus qu’un gros tas de gravats qui a perdu certains de ses cailloux, mais a gagné deux lunes.
Vous aimez découvrir les objets cosmiques ? Aidez EarthSky à continuer de vous montrer ce qu’il y a là-haut. Veuillez donner ce que vous pouvez à notre campagne annuelle de financement participatif.
Les astronomes ont publié deux nouvelles études sur Cléopâtre, l’une sur 19 mai et l’autre sur 16 août, dans le Évalués par les pairs journal Astronomie et astrophysique.
Les scientifiques ont utilisé les ESO Très grand télescope pour voir Cléopâtre, qui, au plus près, se trouve à moins de 125 millions de miles (200 millions de km) de la Terre. C’est comme essayer de voir une balle de golf à une distance de 40 km.
Un astéroïde en forme d’os de chien dégringole dans l’espace
Le Very Large Telescope de l’ESO a pris les images présentées ici entre 2017 et 2019. La gamme d’images permet aux astronomes de voir l’astéroïde alors qu’il dégringole dans l’espace, révélant différents angles et leur permettant de créer des modèles 3D de Cléopâtre. Ils ont découvert que l’un des lobes était plus gros que l’autre. Ils ont également constaté que la longueur totale de l’astéroïde est de 167 miles (270 km). Pour comparer la taille, les scientifiques ont créé des images de ce à quoi ressemblerait Cléopâtre planant au-dessus de la Terre au-dessus de l’Italie et du Chili.
Marchis, le chef d’équipe d’une des études, décrit l’intérêt d’étudier un objet insolite comme Cléopâtre :
Cléopâtre est vraiment un corps unique dans notre système solaire. La science fait beaucoup de progrès grâce à l’étude des valeurs aberrantes étranges. Je pense que Cléopâtre en fait partie, et comprendre ce système complexe et multiple d’astéroïdes peut nous aider à en apprendre davantage sur notre système solaire.
Cléopâtre et ses lunes
Cléopâtre, du nom de la reine égyptienne, n’est pas seule car elle orbite autour du soleil dans la ceinture d’astéroïdes. Deux lunes orbitent autour d’elle : AlexHelios et CleoSelene, que les scientifiques ont nommés pour les vrais jumeaux fraternels de la reine.
Miroslav Bros de l’Université Charles de Prague, en République tchèque, était l’auteur principal de l’autre étude sur Cléopâtre. Son équipe a utilisé les nouvelles observations pour trouver les orbites correctes des lunes. Des études antérieures ont produit des orbites qui ne correspondaient pas aux observations. Bros a dit :
Cela devait être résolu, car si les orbites des lunes étaient fausses, tout était faux, y compris la masse de Cléopâtre.
Son équipe a résolu le problème en utilisant les nouvelles observations et modélisations pour découvrir l’influence gravitationnelle de Cléopâtre sur le mouvement des lunes. Une fois les orbites des satellites définies, les astronomes ont pu calculer la masse de Cléopâtre. Ils ont constaté que sa masse était 35% inférieure aux estimations précédentes. Avec les estimations de volume et de masse, les scientifiques ont ensuite pu estimer la densité, qui était également inférieure à ce que l’on croyait auparavant.
Les scientifiques pensent maintenant que Cléopâtre n’est rien de plus qu’un tas de décombres, formé de matériaux qui ont subi un impact géant. Ils ont réalisé que si l’astéroïde tournait beaucoup plus vite, il commencerait à s’effondrer. En fait, l’équipe de Marchis pense que c’est ainsi que les lunes de Cléopâtre sont nées, à partir de morceaux de l’astéroïde qui ont été arrachés lors de petits impacts. Les cailloux dépouillés ont finalement fusionné pour former les deux lunes.
Observations futures
Les observations actuelles, faites avec le Very Large Telescope de l’ESO, ont utilisé l’avance optique adaptative systèmes. Ces systèmes corrigent l’effet de l’atmosphère terrestre, qui autrement déformerait et brouillerait l’image résultante.
Les scientifiques sont enthousiasmés par les perspectives du plus récent observatoire de l’ESO, le Télescope extrêmement grand, prévu pour 2027. En tant que “plus grand œil du monde sur le ciel”, il sera idéal pour imager Kleopatra et d’autres objets difficiles. Comme l’a dit Marchis :
J’ai hâte de pointer l’ELT sur Cléopâtre pour voir s’il y a plus de lunes et affiner leurs orbites pour détecter de petits changements.
Conclusion : Kleopatra, l’astéroïde en os de chien, révèle sa taille et sa composition dans de nouvelles images publiées par l’ESO.
Source : Un modèle multipolaire avancé pour le système triple (216) Kleopatra
Source : (216) Kleopatra, un astéroïde de type M en rotation critique de faible densité
Via l’ESO
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