Quand deux lions s’affrontent pour savoir qui va être le leader du clan, celui qui a perdu va rentrer ses épaules et cacher sa queue. C’est la silhouette d’une personne qui n’a plus confiance en lui-même. Il se cache, il ne sort jamais de sa maison et il va marcher avec tête baissée. Ce qui est sûr est que c’est la posture qui travaille notre cerveau à avoir plus de motivation pour avancer dans le projet. Le point clé pour booster le cerveau est le sourire, même si l’on a du mal à accepter les évènements, on montre de la joie à tout le monde.
Travailler la posture
Ce qui nous empêche à avoir une bonne posture est le manque d’oxygène. Essayer de se réveiller dix minutes avant le bon soleil. Ouvrez les fenêtres de votre chambre et respirez de l’air frais le matin avant de faire votre douche. Vous pouvez travailler tous les jours cette respiration. Vous pouvez le faire quand vous êtes très fâché, sortez de la pièce et respirez un bon coup dehors. Vous allez vous calmer très vite et vous n’aurez pas de problèmes de santé. La meilleure façon de respirer sera très lente. Respirez par le nez et sortez de l’air tout doucement par la bouche. Vous pouvez travailler mieux votre respiration en nageant par exemple. Arrangez votre programme et partez dans la piscine chaque week-end.
Trouver une raison de faire les choses
« Pourquoi » vous avez envie de réaliser ce projet ? Donnez-vous une raison, si c’est pour votre enfant, vous aurez peut-être plus de volonté à le faire. Il est clair que les représentations des images dans le cerveau vont si vite changer notre émotion. En voyant un enfant en état de malnutrition, on a toujours cette envie de faire une action. En voyant quelqu’un qui a eu une coupe pour sa performance en sport, on a envie de faire comme lui. Cela nous dicte de bien choisir les images que nous infligeons à notre cerveau, mieux vaut sélectionner celle qui est motivante.
Compter à l’envers
Ce sera un peu un geste ridicule, mais c’est une question logique. Votre cerveau va demander plus de temps à la réflexion quand vous faites un compte à retour. À ce moment-là, le cerveau recherchera plusieurs paramètres avant de donner la réponse, et celle-ci sera un peu plus réfléchie. On peut aussi avoir ce déclic du cerveau qui nous donne le point de départ d’une action une fois que le compteur s’affiche à zéro. On n’attend pas, on peut tout de suite commencer.
Enfin, sortir dans sa zone de confort est une clé essentielle. Quand on ne pense plus à rester dans notre petit monde sans se soucier de ce qui se passe à l’extérieur, on se retrouve sur un même point de départ à chaque fois. On peut voyager quand on veut, on peut faire quelques petits pas pour assurer chaque étape que l’on fait.