La mort est une maladie à laquelle on ne consacre pas assez d'investissements, entendait-on il y a quelques temps.
Le moyen du changement, c'est souvent le sophisme. Par exemple, ce blog cite une idée qu'ont eue des Américains : beaucoup d'entreprises s'étaient engagées à payer une retraite à leurs salariés ; cela était donc une dette, et les dettes se renégocient, en particulier lorsque l'entreprise est en faillite ! Il suffisait donc de mettre des entreprises en faillite pour gagner beaucoup.
Et s'il en était de même du marché ? Le marché n'est que "défaillances" exploitées par le virtuose. Et si le dit virtuose avait convaincu la société des bénéfices d'un marché libre, et réussi le casse du siècle ?