Une fillette de deux ans a été transportée d’urgence à l’hôpital après avoir été électrocutée par un chargeur de téléphone portable, mais tragiquement, elle n’a pas pu être sauvée.
Une jeune fille est décédée d’un choc électrique après avoir touché un chargeur de téléphone portable.
Sara Alves de Albuquerque, d’Erere, dans le nord-est du Brésil, a été transportée d’urgence à l’hôpital lundi, mais n’a malheureusement pas pu être sauvée. Le soleil rapports.
La maire locale, Emmanuelle Gomes Martins, a exprimé sa tristesse face à l’incident sur Facebook.
« Le gouvernement d’Erere exprime son profond regret pour la mort de l’enfant Sara Alves de Albuquerque.
« En ce moment de profonde douleur, l’administration publique municipale sympathise avec la famille et les amis, et exprime ses plus sincères condoléances pour la perte indicible. »
D’autres ont également exprimé leurs condoléances.
« Repose en paix, petite Sara. Tu es un petit ange avec de petites ailes maintenant. Occupe-toi de ta maman d’en haut, tu entends ? une personne a écrit.
« Il y a des moments où on ne trouve pas les mots pour extérioriser nos sentiments, surtout quand on parle d’un enfant », dit un autre.
La police poursuit l’enquête sur la mort du bambin.
Les rapports n’ont pas indiqué la marque du téléphone ou s’il s’agissait d’un chargeur d’une marque reconnue.
Il s’agit du dernier d’une série de décharges électriques mortelles similaires. Le Brésil a enregistré 355 décès dus à des décharges électriques l’année dernière seulement.
Un décès similaire s’est produit en Thaïlande en 2019, lorsque Kittisak Moonkitti, 28 ans, a été retrouvé mort dans sa chambre avec des marques de brûlures sur la main et l’avant-bras alors qu’il tenait toujours son combiné.
Sa mère Rinnaporn, de Chonburi, dans l’ouest de la Thaïlande, a fait l’horrible découverte alors qu’elle partait travailler.
Elle a trouvé Kittisak tenant son smartphone Android noir, qui était branché sur le secteur pendant qu’il jouait à des jeux.
Cet article a été initialement publié sur Le soleil et a été reproduit avec permission
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Une fillette de deux ans a été transportée d’urgence à l’hôpital après avoir été électrocutée par un chargeur de téléphone portable, mais tragiquement, elle n’a pas pu être sauvée.
Une jeune fille est décédée d’un choc électrique après avoir touché un chargeur de téléphone portable.
Sara Alves de Albuquerque, d’Erere, dans le nord-est du Brésil, a été transportée d’urgence à l’hôpital lundi, mais n’a malheureusement pas pu être sauvée. Le soleil rapports.
La maire locale, Emmanuelle Gomes Martins, a exprimé sa tristesse face à l’incident sur Facebook.
« Le gouvernement d’Erere exprime son profond regret pour la mort de l’enfant Sara Alves de Albuquerque.
« En ce moment de profonde douleur, l’administration publique municipale sympathise avec la famille et les amis, et exprime ses plus sincères condoléances pour la perte indicible. »
D’autres ont également exprimé leurs condoléances.
« Repose en paix, petite Sara. Tu es un petit ange avec de petites ailes maintenant. Occupe-toi de ta maman d’en haut, tu entends ? une personne a écrit.
« Il y a des moments où on ne trouve pas les mots pour extérioriser nos sentiments, surtout quand on parle d’un enfant », dit un autre.
La police poursuit l’enquête sur la mort du bambin.
Les rapports n’ont pas indiqué la marque du téléphone ou s’il s’agissait d’un chargeur d’une marque reconnue.
Il s’agit du dernier d’une série de décharges électriques mortelles similaires. Le Brésil a enregistré 355 décès dus à des décharges électriques l’année dernière seulement.
Un décès similaire s’est produit en Thaïlande en 2019, lorsque Kittisak Moonkitti, 28 ans, a été retrouvé mort dans sa chambre avec des marques de brûlures sur la main et l’avant-bras alors qu’il tenait toujours son combiné.
Sa mère Rinnaporn, de Chonburi, dans l’ouest de la Thaïlande, a fait l’horrible découverte alors qu’elle partait travailler.
Elle a trouvé Kittisak tenant son smartphone Android noir, qui était branché sur le secteur pendant qu’il jouait à des jeux.
Cet article a été initialement publié sur Le soleil et a été reproduit avec permission
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