Avec 'Albert Savarus', publié dans Le Siècle en 1842, Balzac découvre Besançon "ville de haut commerce, de transit entre Mulhouse et Lyon et point capital entre le Rhin et le Rhône" et il se pose en défenseur de son expansion et de son autonomie :
" Pour rivaliser avec Strasbourg, Besançon ne devrait-elle pas être un centre de lumières aussi bien qu'un point commercial ? ....Quelle gloire de ravir à Strasbourg et à Dijon leur influence littéraire, d'éclairer l'Est de la France et de lutter contre la centralisation parisienne ! "
Programme toujours d'actualité....