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Le paradoxe du vaccin

Publié le 21 août 2021 par Christophefaurie

Le vaccin Astra Zeneca semble avoir des effets durables, ce qui ne serait pas le cas de celui de Pfizer. (Article déjà cité.)

Cela pourrait tenir à leur principe : l'ARN messager ne passe pas par le noyau pour programmer des cellules périphériques, ce n'est pas le cas d'un vaccin classique. Ce qui semblerait dire que le système immunitaire a besoin de cet apprentissage. 

Le paradoxe est que les craintes que suscitait l'ARNm venaient de ce que l'on avait peur qu'il pénètre le noyau et atteigne et modifie notre ADN, alors que c'est justement parce qu'il ne le fait pas qu'il ne serait pas efficace à long terme. 

Si c'est le cas, ce serait une mauvaise nouvelle pour l'industrie de l'ARNm.

Citation : “When you deliver RNA, like the Pfizer vaccine, you deliver a finite number of mRNA molecules which are eventually cleared from the system,” he said. “But when you deliver the adenovirus, as AstraZeneca does, you deliver a template which then keeps producing these mRNAs that then produce the spike protein, so there’s no ceiling.


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