Le 4 septembre 1986, un nouveau jeu de course fait son apparition dans les salles d’arcade japonaises. Sur le côté du meuble se trouvait une photo d’une Ferrari rouge vif sur fond de ciel bleu flamboyant, et en lettres chromées brillantes, deux mots simples mais évocateurs : Out Run. Je ne peux qu’imaginer ce que les amateurs d’arcade japonais ont ressenti lorsqu’ils ont vu cette chose pour la première fois. Cette Testarossa rouge feu dérivant sur l’écran, des palmiers se balançant dans le vent, avec la légendaire douche de son magique du compositeur Hiroshi Kawaguchi jaillissant des haut-parleurs. Il n’est pas étonnant que le jeu ait été un succès retentissant pour Sega : qui pourrait résister à injecter quelques yens dans cette?
Conçu par le hitmaker de Sega Yu Suzuki, Out Run est un jeu de course 3D incroyablement rapide dans lequel vous conduisez cette Ferrari rouge emblématique à des vitesses improbables à travers une série d’environnements aux couleurs éclatantes. L’horloge tourne toujours, et un gant de creux, d’obstacles et de virages vous attend pour ronger votre temps, ce qui fait d’atteindre la fin tout sauf un brise qui passe. (Blague pour les fans là-bas.) Alors que vous traversez des plages, des vignobles et des déserts, clouer ces coins implique de changer rapidement de vitesse et de dériver autour d’eux avec un crissement de pneu satisfaisant. Si je devais résumer le classique Sega en une image, ce serait une Testarossa incroyablement rouge glissant le long d’une plage venteuse bordée de palmiers. Maintenant c’est jeux vidéo.
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Pour se préparer au développement du jeu, Suzuki a effectué un voyage de reconnaissance en Europe, conduisant une BMW 520 à travers Monaco, Rome, Milan, Florence, les Alpes suisses et la Côte d’Azur. C’est à Monaco qu’il a vu pour la première fois une Ferrari Testarossa d’un rouge étincelant, ce qui l’a inspiré pour en faire la star de son nouveau jeu de pilotage. À son retour au Japon, il s’est arrangé pour prendre des photos de l’un sous tous les angles et a enregistré le son de son moteur. Le développement du jeu a pris dix mois, Suzuki affirmant qu’il avait fait la majeure partie de la programmation lui-même, travaillant tard dans la nuit pour terminer le projet à temps. Kawaguchi a fourni une bande-son glorieusement entraînante et d’influence latine, et l’histoire du jeu vidéo a été écrite.
En plus d’une armoire debout traditionnelle, Sega a également lancé une version assise de luxe d’Out Run avec un simulateur de mouvement hydraulique intégré. Cela basculerait et oscillerait pendant que vous jouiez, reflétant les mouvements de votre voiture dans le jeu. À la fin de 1987, Sega avait vendu 20 000 armoires Out Run dans le monde, rapportant à la société environ 240 millions de dollars. Et ce n’est qu’en 1993, avec Virtua Fighter (un autre jeu Suzuki), qu’ils ont battu ce record. Out Run a également été porté sur un nombre ridicule de systèmes domestiques, notamment Mega Drive, Commodore 64, PC Engine, Atari ST et plus récemment, la Nintendo Switch.
Beaucoup de jeux d’arcade des années 80 sont, disons, difficile jouer aujourd’hui. Mais il y a quelque chose d’intemporel dans Out Run qui le rend, plus de trois décennies plus tard, tout aussi jouable qu’en 86. Cette image indélébile d’une Ferrari traversant une mer de bleu céruléen n’a rien perdu de sa puissance, et la course frénétique basée sur le temps reste tout à fait passionnante. En 2003, Sega a sorti OutRun 2 (je ne sais pas pourquoi ils ont supprimé l’espace entre dehors et Cours) et a décroché l’or une deuxième fois, reprenant l’essence du premier jeu et le modernisant pour une nouvelle ère. Ce qui me fait me demander si nous verrons jamais un troisième match. Sinon, eh bien, l’original est toujours là et tient toujours sa place sur la piste.
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C’est officiel : il y a maintenant exactement 900 Pokémon.
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A propos de l’auteur
Andy Kelly
(6 articles publiés)
Andy Kelly est un éditeur de fonctionnalités chez TheGamer. Il adore les jeux de détective, tout ce qui a une bonne histoire, des trucs indépendants étranges et Alien : Isolation. Vous pouvez le retrouver sur Twitter @ultrabrilliant
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Le 4 septembre 1986, un nouveau jeu de course fait son apparition dans les salles d’arcade japonaises. Sur le côté du meuble se trouvait une photo d’une Ferrari rouge vif sur fond de ciel bleu flamboyant, et en lettres chromées brillantes, deux mots simples mais évocateurs : Out Run. Je ne peux qu’imaginer ce que les amateurs d’arcade japonais ont ressenti lorsqu’ils ont vu cette chose pour la première fois. Cette Testarossa rouge feu dérivant sur l’écran, des palmiers se balançant dans le vent, avec la légendaire douche de son magique du compositeur Hiroshi Kawaguchi jaillissant des haut-parleurs. Il n’est pas étonnant que le jeu ait été un succès retentissant pour Sega : qui pourrait résister à injecter quelques yens dans cette?
Conçu par le hitmaker de Sega Yu Suzuki, Out Run est un jeu de course 3D incroyablement rapide dans lequel vous conduisez cette Ferrari rouge emblématique à des vitesses improbables à travers une série d’environnements aux couleurs éclatantes. L’horloge tourne toujours, et un gant de creux, d’obstacles et de virages vous attend pour ronger votre temps, ce qui fait d’atteindre la fin tout sauf un brise qui passe. (Blague pour les fans là-bas.) Alors que vous traversez des plages, des vignobles et des déserts, clouer ces coins implique de changer rapidement de vitesse et de dériver autour d’eux avec un crissement de pneu satisfaisant. Si je devais résumer le classique Sega en une image, ce serait une Testarossa incroyablement rouge glissant le long d’une plage venteuse bordée de palmiers. Maintenant c’est jeux vidéo.
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En plus d’une armoire debout traditionnelle, Sega a également lancé une version assise de luxe d’Out Run avec un simulateur de mouvement hydraulique intégré. Cela basculerait et oscillerait pendant que vous jouiez, reflétant les mouvements de votre voiture dans le jeu. À la fin de 1987, Sega avait vendu 20 000 armoires Out Run dans le monde, rapportant à la société environ 240 millions de dollars. Et ce n’est qu’en 1993, avec Virtua Fighter (un autre jeu Suzuki), qu’ils ont battu ce record. Out Run a également été porté sur un nombre ridicule de systèmes domestiques, notamment Mega Drive, Commodore 64, PC Engine, Atari ST et plus récemment, la Nintendo Switch.
Beaucoup de jeux d’arcade des années 80 sont, disons, difficile jouer aujourd’hui. Mais il y a quelque chose d’intemporel dans Out Run qui le rend, plus de trois décennies plus tard, tout aussi jouable qu’en 86. Cette image indélébile d’une Ferrari traversant une mer de bleu céruléen n’a rien perdu de sa puissance, et la course frénétique basée sur le temps reste tout à fait passionnante. En 2003, Sega a sorti OutRun 2 (je ne sais pas pourquoi ils ont supprimé l’espace entre dehors et Cours) et a décroché l’or une deuxième fois, reprenant l’essence du premier jeu et le modernisant pour une nouvelle ère. Ce qui me fait me demander si nous verrons jamais un troisième match. Sinon, eh bien, l’original est toujours là et tient toujours sa place sur la piste.
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