No comment.
Ca c’est de l’initiative. Je sais pas ce que vous faites le 21, mais notez quand même dans votre agenda…
Je recopie:
« Le Global Orgasm for Peace aura lieu ce lundi 21 décembre 2009 à 18 h 47
Faites l’amour, pas la guerre. Voici le mantra qui a poussé Victoria et Steve Schweitzer (ah ce bon vieux docteur) à créer le Global Orgasm for Peace, il y a quatre ans de cela. Une idée d’orgasme commun pour sauver les pays en guerre.
Le principe ? Les couples font l’amour chez eux “et plus particulièrement dans les pays en guerre” (ça c’est toujours facile ça, entre deux roquettes et trois grenades), en essayant d’atteindre l’orgasme à 18 h 47 (soyons précis !) pour insuffler une énergie positive et donc… favoriser la paix dans les pays en conflit ! (insufflons, insufflons)
L’idée peut paraître un peu loufoque et prêter à rire… (Meuh non, enfin…) Cependant, l’orgasme, et plus précisément l’activité sexuelle, a un effet bénéfique sur la santé. “C’est bon pour la santé, c’est un fait. Faire l’amour est un exercice qui va activer le système cardiovasculaire et faire travailler les muscles”, explique Sabrina Bauwens, sexologue liégeoise (on va tous ressembler à Schwarzie).
Certaines études démontrent que faire l’amour tous les jours augmente la qualité du sperme. Une étude anglaise a récemment démontré que l’activité sexuelle quotidienne chez les hommes de 50 ans et plus, diminuait le risque de développer un cancer de la prostate. De plus, la testostérone produite pendant les rapports, protégerait les os de l’ostéoporose. (Est ce que c’est valable aussi pour la branlette?)
D’autres études internationales, dont une londonienne, démontrent que faire l’amour régulièrement rendrait les personnes moins sujettes au rhume. (je vais lancer une étude sur les cors au pied)
Exit aussi dépression et autres coups de blues. “Le plaisir durant l’acte sexuel et l’orgasme vont envoyer une décharge hormonale au cerveau”, reprend la sexologue liégeoise. “Après l’amour, les partenaires ressentent un sentiment de bonheur, de plénitude, voire de fatigue intense…” (voire…voire…. crevé, moi)
Faire l’amour (avec ou sans orgasme) est donc extrêmement bénéfique pour la santé.
Un orgasme dure en moyenne entre “deux et six secondes. Mais le temps est distordu à ce moment-là !” constate la sexologue.
Cependant, il n’est pas “obligatoire” d’avoir un orgasme durant la relation sexuelle. “La plupart des femmes n’arrivent pas à atteindre l’orgasme à chaque fois. Ce n’est pas du tout un problème ! On peut avoir une vie sexuelle épanouie sans atteindre l’orgasme à chaque relation sexuelle…” reprend la sexologue. (Et c’est UNE sexologue qui le dit hein)
“La société actuelle perçoit le fait que l’homme doit faire jouir sa femme comme étant le Saint-Graal, ajoute Sabrina Bauwens. (Sabrina Bauwens, je veux t’épouuuuuuser) Des mythes infondés circulent également, notamment sur l’intensité orgasmique. Voir la pièce trembler ou ne plus savoir son nom après l’amour tient de la légende urbaine…” »
Je savais que c’était une légende.
Xavier. Xavier comment encore?