« Un Mozambicain exige le mariage pour un coït avec sa chèvre »
Voilà un monsieur avec de vraies valeurs.
Tu consommes la demoiselle, tu épouses et tu paies la dot.
Et bien au delà du qu’en dira-t-on, c’est ce qui chiffonne les 2 coupables et leurs familles.
La dot.
J’adore.
D’abord parce que pour être pris le falzar sur les chevilles en train de besogner Melle Seguin, faut déjà pas être très malin.
Puis juste pour tremper son tiche dans une biquette, faut pas être malin du tout.
Oui mais, oui mais.
Que celui qui n’a jamais pêché leur jette la première pierre.
Parce que bon, des chèvres, pas sûr qu’on ait fait.
Quoique certaines mauvaises langues diront qu’on a fait bien pire.
Puis entre la levrette et la chevrette, hein….
Allez soyez honnêtes…. des cochonnes? des limaces? des méduses? des singes hurleurs? des dindes? des hyènes? des chattes? des veuves noires? des grosses vaches? des biches? …
Aaaaaaaaah, ça vous revient?
Et vous mesdemoiselles? des gros porcs? des requins? des lapins? des lézards froids? des veaux? des anguilles? des yétis? des dinosaures? des paresseux?…
Mmmmmmmh?
Alors peut-être qu’en fait, on est tous et toutes un peu comme ce retourneur de chèvre avec son bâton de berger…
Et vous imaginez, si il avait fallu chaque fois se marier?
On aurait les doigts couverts d’alliances.
Blingblingbling.
Certain(e)s n’auraient pas assez de doigts.
Puis je te dis pas la tronche des gosses…..
Xavier, oui je le veux.