Un professionnel, c’est quelqu’un de bon dans son métier.
Une professionnelle, c’est une p*te.
Un homme à femmes, c’est un séducteur.
Une femme à hommes, c’est une pu*e.
Un entraîneur, c’est un homme qui entraîne une équipe sportive,
Une entraîneuse, c’est une put*.
Un gagneur, c’est un homme qui réussit,
Une gagneuse, c’est une p*te qui rapporte.
Un masseur, c’est un kiné,
Une masseuse, c’est une pu*e.
Un homme qui fait le trottoir, c’est un paveur,
Une femme qui fait le trottoir, c’est une put*.
Un courtisan, c’est un homme qui est proche du roi,
Une courtisane, c’est une p*te.
Un gars, c’est un jeune homme,
Une garce, c’est une pu*e.
Un péripatéticien, c’est un adepte de la doctrine d’Aristote,
Une péripatéticienne, c’est une put*.
Un homme public, c’est un homme connu,
Une femme publique, c’est une p*te.
Un homme facile, c’est un homme agréable à vivre,
Une femme facile, c’est une pu*e.
Un homme sans moralité, c’est un politicien PS,
Une femme sans moralité, c’est une put*.
Au-delà de ça, on vit en démocratie.
Heureusement. Et merci.
Avec des droits, une justice, l’Homme comme valeur ultime, la dignité, le respect.
Un braqueur de bijouterie, c’est un homme avec des droits qu’il faut respecter.
Un tueur de bijoutier ou de mère de famille qui passe, c’est un homme avec des droits qu’il faut respecter.
Un bijoutier qui voit rouge et qui défend son bien, c’est un fils de *ute.
Heureusement que c’était pas une bijoutière…Oh la salope, dis!
Et non, on ne peut pas se faire justice soi-même.
Mais quand criminel devient un statut plus sûr que citoyen, ça pose des questions…non?
Xavier, quel bordel…