Contrairement aux promesses faites, la Chine va bien censurer le Web, utilisé par les médias durant les Jeux olympiques de Pékin. "Nous fournirons un accès à Internet suffisant pour les journalistes" au centre de presse, a déclaré, mercredi 30 juillet, le porte-parole du comité d'organisation, Sun Weide. Mais il a confirmé les dires d'un porte-parole du ministère des affaires étrangères, selon lequel les sites contenant des informations sur le mouvement spirituel Falungong, interdit en Chine, ne seraient pas accessibles, ainsi que d'autres, dont il n'a pas précisé les noms.