Il semblerait que la vérité finisse toujours par triompher. Jean-Pierre Balligand a également tenu à la faire apparaître au plus grand nombre.
Voici son communiqué :
Jean-Pierre Balligand, député socialiste de l'Aisne et membre de la Commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations, s'étonne de certaines des interprétations relatives à la nomination d'Alain Lambert à la Commission de surveillance.
Il n'est en effet pas anormal que la Commission des finances du Sénat ait désigné M. Lambert pour succéder à Philippe Marini dans cette instance, M. Lambert ayant déjà assumé ce mandat avant 2002.
Jean-Pierre Balligand, alors président de la Commission de surveillance, a d'ailleurs pu constaté à quel point, dans l'exercice de ss fonctions, M. Lambert était actif, compétent et soucieux de l'intérêt général.
Il estime donc saugrenu de laisser entendre que M. Lambert aurait modifié sa position sur la réforme constitutionnelle en échange de sa nomination à la Commission de surveillance.
Et si les journalistes avaient commencé par faire une petite enquête ?