Making off de l'ITW de 20 minutes. Mon ITW manquée avec Christine Lagarde.

Voici maintenant l'ITW ébouriffante que Vincent a réalisée avec mon petit appareil photo non professionnel. Il a posé les questions de son choix et j'ai répondu, sans langue de bois, très spontanément, comme à mon habitude. J'ai cependant bien conscience, avec le recul, que le caractère trop tranché de mes réponses va me valoir, à nouveau, les pires ennuis avec mes amis de Bercy. Ils connaissent pourtant l'affection sincère et solidaire que je leur porte. D'abord, j'ai voulu balayer le soupçon que l'on portait sur Gilles Carrez et sur moi d'avoir voulu, dans une précédente vidéo, faire une mauvaise manière à Christine Lagarde, alors qu'elle est une amie personnelle et que je n'ai pas oublié, ni les Ornais, notre soirée à Sées. Elle saura ce dont je parle. En revanche, il est vrai que nous craignons, parmi les parlementaires qui suivent l'évolution de nos finances publiques que le ministre des recettes se laisse, trop souvent, imposer des dépenses fiscales qui alimentent gravement le déficit. Jacques Le Pape, son collaborateur, dans lequel j'ai une très grande confiance m'a fait part de son désaccord sur mon analyse, comme j'ai, c'est vrai, une grande confiance en lui, je tiens compte de son avis. Mais il demeure que si la discussion budgétaire se passe mal, cela viendra du côté de la dépense fiscale plus que de l'évolution des dépenses (encore que ...). Attention notamment aux aventures post grenelle de l'environnement. Je sais mieux que beaucoup d'autres où s'inventent les avantages fiscaux, après les visiteurs du soir qui hantent les grands palais nationaux. Mais nous ne pouvons plus continuer ainsi. Alors il faut crier « au secours » ! C'est ce que je fais !

Je commenterai tout à l'heure l'ITW de Christine Lagarde dans la presse sur le sujet.
Voici le lien vers l'article du journaliste que vous avez pu découvrir ci-dessus !