Un clown à Tourbes : Léon tramp en vadrouille
Musique Charlie Chaplin, Guitare et chant : Christophe MARTIN Léon Tramp s’amuse, à peine sortie du confinement artistique obligatoire, Léon le clown, un peu empâté (il fait un régime pour récupérer …..heu sa ligne), retrouve la rue pour une balade impromptue. Il s’essaie au maquillage éphémère, reprend son habit de marin, chausse un nez rouge et investit quelques rues de Tourbes. Le square municipal lui offre une scène champêtre. Ainsi la première répétition du pêcheur se tient sous le regard de quelques personnes. Quel plaisir pour lui de retrouver la rue, il ne reste plus qu’à s’occuper de la forme (physique) et d’une forme, oui Léon cherche son aspect plastique et vestimentaire, il n’est pas encore fixé. Cependant il est bien décidé à oublier à nouveau le nez rouge et le blanc du visage, à quoi bon, Tout est à l’intérieur, et pour ce qui est caché, il vaut mieux prendre le temps de le découvrir… Un poème surgit à la fin du film, ne ratez pas ça !
Un clown à Tourbes : retour en public
Tramp avide de sensations de jeu, de jeux, improvise dans les rues de Tourbes. Ce village l’accueille pour investir la rue, dans un premier temps.
Dans le square Léon s’échauffe et prend quelques contacts. D’entrée de jeu , une petite fille assise avec ses parents à portée de vue, fait retentir son rire par à-coups.
Léon capte, d’autres enfants juchés sur les jeux du parc, remarquent un type bizarre qui fait des signes : échange. Le cabotin distrait, n’est pas loin, mais il risque de se laisser embarquer par le jeu dans le jeu. alors, il prépare son travail de répétition.
Un clown à Tourbes : Trame du spectacle » Un abricot sur la tête «
La trame du spectacle : Un abricot sur la tête débute par un gros mensonge. Tramp est un mime pêcheur, mais il ne vient pas pécher, il cache un secret qui sera dévoilé plus tard.
La pêche est un prétexte pour entrer en relation avec le public. Le public lui est une mer changeante pour Tramp, calme par moments, puis impétueuse, elle est aussi câline, et rejette selon son bon plaisir quelques méduses urticantes sur la plage.
Tramp toréador de scène, s’échauffe, reprend ses marques, trace des lignes, porte la voix, s’impose loin des regards.
Puis l’envie de rue se fait plus pressant, dans ce village dont la place publique est un scène de théâtre, Tramp avance, s’immisce, prend ses aises.