Lorsque gars libre sort en salles le 13 août, son équipe créative et ses acteurs promettent que la comédie d’action de Ryan Reynold sera un hommage rempli d’œufs de Pâques à l’expérience de jeu – avec beaucoup de cœur.
« J’ai pensé au film comme : « Et si vous obteniez les codes de triche ? » Et si vous pouviez vous promener et voir soudainement des power-ups, où que vous alliez et qu’ils vous donnent des capacités magiques ou de l’argent ou la réalisation de souhaits – et en quelque sorte soutenus de cette façon », a déclaré le co-auteur Matt Lieberman Le journaliste hollywoodien sur le tapis du New York gars libre première mardi soir.
Lieberman, qui a déclaré qu’il se sentait “comme un personnage de fond” lorsqu’il a écrit le film, a également admis avoir Grand Theft Auto-la culpabilité liée au fait de “taper” les PNJ du jeu (personnages non-joueurs), une sorte de “bizarrerie karmique qui ne s’est jamais sentie bien” mais qui s’est finalement intégrée au grand moment “aha” qui est devenu gars libre, un film de jeu vidéo sur la gentillesse, le libre arbitre et l’idée « que vous pouvez changer le monde ».
Comme Lieberman, réalisateur Shawn Levy a également été attiré par l’angle de réalisation des souhaits du jeu et la prémisse du film, qui suit Guy (Reynolds), un caissier de banque et un personnage de fond dans le jeu vidéo en monde ouvert Ville libre. Après que Guy ait pris conscience de lui-même grâce au travail des programmeurs Millie (Jodie Comer) et Keys (Joe Keery), il tente de se faire le héros, au grand dam de l’éditeur Antwan (Taika Waititi).
“J’ai l’impression d’avoir toujours été un joueur occasionnel, pas un hardcore, mais ce que j’ai toujours aimé dans le jeu, c’est l’aspiration. Vous pouvez choisir l’avatar que vous aimeriez être et vous pouvez faire des choses physiquement que nous ne pouvons pas faire dans la vraie vie », a déclaré Levy. “Cela a toujours eu cet aspect de réalisation de souhaits et ce sentiment de connexion avec les autres joueurs de la communauté des joueurs.”
L’élément ambitieux faisait “partie d’un mandat personnel”, a déclaré Levy, pour cette ode aux jeux vidéo qui est “moins violente, bien plus optimiste et moins nihiliste” que ce à quoi les fans pourraient s’attendre. En fait, le jeu dans le film n’est même pas “le meilleur jeu”, déclare le co-scénariste Zak Penn.
“Le personnage de Taika n’est pas le meilleur, le patron le plus artistique du monde et il y a donc beaucoup de plaintes à propos du jeu”, a déclaré Penn. THR. “J’ai écrit Prêt Joueur Un aussi, ce qui est à peu près la même chose, mais dans ce film, il s’agit beaucoup plus de gens qui se réunissent collectivement. Il y a des sous-intrigues entières sur les gens qui le diffusent et les gens qui le regardent, et commencent à s’enraciner pour Guy.
Reynolds, qui a renoué avec gars libre avec Levy et Waititi, convient que les éléments ambitieux du film, y compris son histoire d’amour, jouent un rôle important dans le récit de l’aventure basée sur le jeu vidéo.
“[Levy and I] essayaient toujours de comprendre comment déchiffrer ce code d’une histoire d’amour où l’un des amants de l’histoire n’est pas réel », a-t-il déclaré. “Shawn et moi avons tous les deux déchiffré ce code alors que nous étions assis dans un train faisant la navette entre New York et Boston pour tourner le film est mon moment préféré que lui et moi ayons jamais eu ensemble Et je pense que le moment émotionnel le plus captivant du film est à la suite de cela.
Reynolds a également expliqué à quel point le concept du film consistant à élever un personnage d’arrière-plan à un personnage central avait un impact sur la façon dont lui et Levy travaillaient, l’acteur racontant Le journaliste hollywoodien qu’il s’est connecté “plus que je ne l’aurais fait auparavant avec nos artistes de fond”.
«Cela m’a vraiment ouvert les yeux sur le fait que nous transportons tous un petit sac de cailloux. Nous sommes tous des héros ou des méchants dans nos propres histoires », a déclaré Reynolds. “Traîner avec ces gars, parler à ces gars et les présenter à la lumière du film était vraiment spécial pour moi, c’était spécial pour Shawn, et je pense que c’était spécial pour eux.”
Ryan Reynolds et Shawn Levy “Free Guy” Première mondiale
Arturo Holmes/WireImage
Reynolds et Levy se sont félicités sur le tapis, le réalisateur déclarant avec enthousiasme que les deux devraient avoir leur propre nom et hashtag (#Shryan) après avoir “maintenant fait deux films d’affilée ensemble” avec “des nombres, trois, quatre et cinq déjà en train de cuisiner. Mais la co-star de Reynold l’a fait, Lil Rel Howery, qui a appelé le Dead Pool jouer un « acteur de partage ».
“Ryan est juste un acteur qui me soutient vraiment. Ils criaient coupé et il était là comme, ‘C’était génial. C’était amusant. C’était génial.’ J’étais comme ‘Bon sang, d’accord’ », a déclaré Howery. “J’ai beaucoup appris en travaillant avec lui et Shawn sur la façon de donner et de recevoir.”
Alors que le film n’est pas tout à fait Prêt Joueur Un, cela ne veut pas dire qu’il ne plaira pas aux joueurs. Dans la construction du monde et le tournage de gars libre, des efforts ont été faits pour rendre hommage à l’histoire du jeu, à la culture et même à l’expérience physique du gameplay. Levy a déclaré que l’une de ses choses préférées à filmer était quelques plans avec un bras robotique.
“Nous avons monté la caméra essentiellement sur un bras robotique que vous verriez dans une usine de carrosseries automobiles, et nous avons programmé certains mouvements de caméra pour simuler la vitesse et la fluidité robotique des caméras de jeux vidéo”, a-t-il déclaré. « On ne tourne pas tout le film comme ça. Mais il y a certains plans comme lorsque Ryan met les lunettes pour la première fois où nous découvrons le monde avec le genre de visuels robotiques que nous voyons dans le jeu.
L’influenceur de jeu Ninja, qui a une brève apparition dans le film, dit que l’expérience de suivre Guy alors qu’il met les lunettes et voit les bonus est proche de ses propres expériences visuelles dans le jeu. Mais le film capture également un élément du jeu dans le monde réel, où les avatars des gens ne sont souvent pas qui ils sont vraiment.
“Chaque fois qu’ils ont un moment où Guy interagit avec un joueur qu’il n’est pas censé faire et que vous obtenez la réaction de ce joueur dans le jeu, puis à quoi ils ressemblent et comment ils réagissent dans la vraie vie en dehors du jeu – c’est super précis et super drôle parce que il y a tellement de gens qui se présentent différemment dans un jeu vidéo », a déclaré Ninja THR.
Cette construction du monde dans le jeu et hors du jeu a servi de fondement au monde, a déclaré gars libre chef décorateur Ethan Tobman. Dans un récit sans limites, vous devez créer les règles, et Tobman a créé deux ensembles de règles pour les personnages du jeu et ses joueurs. Cela a abouti à «des styles visuels vraiment différents, des objectifs de caméra différents, des dispositifs de cadrage différents, des palettes de couleurs différentes, une symétrie de distance focale différente, une non-symétrie».
« L’appartement de Guy est volontairement à moitié développé parce que c’est un personnage à moitié développé. Donc sa porte d’entrée a cinq pênes dormants et aucun nob. Son calendrier manque un jour complet de la semaine. Son réfrigérateur contient des céréales et son garde-manger n’a que des cuillères – pas de fourchettes ni de couteaux car il ne mange des céréales que le matin », a déclaré Tobman, tout en expliquant comment il avait exploré visuellement la caractérisation de Guy et Millie. “L’appartement de Millie est en désordre, a été rénové plusieurs fois, a des tonnes de cohérences parce que c’est à ça que ressemble la vie en dehors des jeux vidéo.”
Et bien que le film ne soit basé sur aucune propriété intellectuelle spécifique, Tobman a utilisé des titres familiers de la culture pop, notamment Retour vers le futur et Vol du navigateur – dans ce qu’il appelle “une lettre d’amour aux films des années 80 de notre enfance”. Les éléments de cette lettre d’amour sont tissés dans gars libremélange d’œufs de Pâques humoristiques, cinématographiques et basés sur des jeux vidéo que Tobman et le reste de l’équipe ont enterrés dans les arcs des personnages et le récit plus large pour les fans observateurs.
Le concepteur de la production a également déclaré s’attendre à des références à des jeux populaires comme Red Dead Redemption et L’ombre du colosse, ainsi que des titres d’écran comme Le spectacle de Truman et Être là, le film réalisé en 1979 par Hal Ashby “sur un personnage à moitié développé qui atteint la grandeur”. Il y a même des clins d’œil à la bande dessinée “Metropolis” et aux cachettes, dont une impliquant un camée de joueur qui nécessitait “un ensemble énorme de la taille d’un terrain de football”.
“Il a 3 000 feuilles de verre, il a 40 tonnes d’acier pour créer un escalier en colimaçon qui se tient tout seul qu’une moto peut descendre”, a déclaré Tobman. « C’était une merveille d’ingénierie. Trois cents personnes ont été nécessaires pour le construire. Nous avons pu y installer un hélicoptère, un Humvee et un char de l’armée juste pour avoir une idée de l’échelle. Nous nous sommes beaucoup amusés à créer ce monde parallèle qui se moque du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui.
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