La vaccination Covid à l’épreuve des faits : une mortalité inédite

Publié le 02 août 2021 par Guy Deridet

La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée, car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias.



Un article du Club de Médiapart, que l'on doit à Laurent Muccielli, maître de recherches au C.N.R.S.

Vous trouverez le lien à la fin de cet article.

Au cours de ma lecture j'ai annoté les éléments qui me paraissaient les plus importants.

Je vous en donne une copie ci-après, qui pourra faire office de « digest ». Vous trouverez tous les détails, les chiffres, et les tableaux dans l'article original.

Mes notes de lecture :

Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.

Il est donc déjà clair que la vaccination n’est pas la solution miracle annoncée pour endiguer l’épidémie et que le chantage formulé par l’exécutif français (vaccination générale ou reconfinement) est fondé sur un mensonge.

Un second mensonge répété à plusieurs reprises tant par le président de la République, le premier Ministre que le ministre de la Santé (et d’autres élus adoptant des postures sanitaires autoritaires, à l’image du maire de Nice M. Estrosi 3) est probablement la prétendue quasi-disparition (« à 96% ») des formes sévères de la Covid grâce à la vaccination.

La majorité des personnes hospitalisées pour des formes graves sont désormais des personnes vaccinées.

La plupart des journalistes français travaillant dans les médias mainstream ont trahi certains principes déontologiques de base de leur profession, n’exerçant plus leur rôle de contre-pouvoir pour devenir au contraire de simples relais de la communication gouvernementale. En cause notamment, la fin du journalisme d’investigation, remplacé par un fact-checking de bureau qui n’est plus qu’un simulacre de journalisme.

En d’autres termes, pour la plupart des journalistes, les statistiques sanitaires sont indiscutables quand elles vont dans le sens de la narration officielle, mais elles deviennent soudainement discutables lorsqu’elles contredisent cette même narration.

Les centres dédiés à la collecte des effets indésirables des médicaments attendent que les professionnels de santé et les particuliers leur signalent les problèmes.

Dès lors, la sous-estimation de l’état réel des problèmes est à la fois permanente et massive. Les premières études 3 françaises, au début des années 2000, estimaient qu’environ 95% des effets indésirables des médicaments n’étaient pas rapportés.

Concernant le vaccin d’AstraZeneca, Parmi ces 5 191 événements graves, un quart a nécessité une hospitalisation, 247 ont engagé le pronostic vital, 121 ont entraîné des invalidité ou incapacités et 170 ont conduit à la mort.

Concernant le vaccin de Pfizer, 8 689 événements « graves » survenus à partir de l’âge de 30 ans (27,7% du total des événements indésirables), dont 2 551 mises en jeu du pronostic vital, 460 invalidités ou incapacités et 761 décès.

Concernant le vaccin de Janssen, 243 évènements indésirables ont été déclarés, principalement par des professionnels de santé. Parmi ces événements, on note 39 hospitalisations, 4 pronostics vitaux engagés, 1 invalidité ou incapacité et 7 décès.

Concernant le vaccin de Moderna Sur les 1 050 événements graves, on note 312 hospitalisations, 50 mises en jeu du pronostic vital, 25 incapacités ou invalidités et 44 décès (dont quelques cas de morts fœtales).

Concernant l’Europe, le constat de plus de 15 000 événements indésirables graves, parmi lesquels près de 1 800 hospitalisations, plus de 2 800 mises en jeu du pronostic vital et près de 1 000 morts potentiellement liés à la vaccination anti-covid. Le tout en seulement 6 mois.

A la fin du mois de juin, la pharmacovigilance européenne avait déjà enregistré environ 9 000 décès liés à la vaccination uniquement pour le vaccin de Pfizer

Un deuxième constat très préoccupant, qui est le fait que ces risques d’effets indésirables graves concernent non seulement les personnes âgées de plus de 65 ans, mais aussi les nourrissons et les adolescents (12-17 ans). En d’autres termes, les vaccins génétiques anti-covid utilisés en Europe présentent des risques d’effets indésirables graves (pouvant aller jusqu’à la mort) dans des catégories de la population qui ne sont nullement menacées par la Covid.

Concernant les U.S. Plus de 6 000 décès, 91% d’entre eux étant attribuables aux seuls vaccins de Moderna et Pfizer (deux entreprises pharmaceutiques/biotechnologiques américaines, Janssen étant la filiale belge d’une autre entreprise pharmaceutique américaine, Johnson & Johnson).

Ces décès sont en outre survenus principalement dans les 48h qui ont suivi la vaccination, ce qui renforce considérablement la présomption de causalité.

Une autre façon d’exprimer ces résultats est donc de dire que, aux États-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans.

La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires

L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique.

Le vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 3 être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.

Soyons clairs : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population.

L’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale. À déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle sensée les protéger.

Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. Et l’histoire a déjà montré (sur le tabac, sur les pesticides, sur la pollution aux hydrocarbures, etc.) que ces postures et ce marketing étaient responsables de véritables crimes contre les populations civiles.

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