Il s’est retiré dans un wagon du Transcanadien pour quatre jours de voyage entre Toronto et Vancouver. Sans téléphone portable, sans ordinateur, sans montre non plus et à aucun moment cela ne lui coûte. S’il se retrouvait un jour impliqué dans une catastrophe naturelle, il en profiterait pour disparaitre. Ces quatre jours loin du quotidien, à soixante-dix kilomètres heure de moyenne sont une aubaine pour reprendre le contrôle de la manche à air posée au large du Cap Horn qui lui sert de tête.