Relions-nous
C’est le titre d’un livre où plus de 50 personnalités soulignent la transition à l’oeuvre vers une société de relations et émettent des propositions à cet effet.
Dans ce blog, je présente quelques chapitres de cet ouvrage.
à propos de l’imaginaire
Alain Damasio, reconnaissant l’importance du digital dans la construction des récits, au point que générer des récits est devenu une sorte « d’imagi’nerf-de-la-guerre ». Il écrit qu’il s’agit moins de chercher « à faire scintiller le « foutur » secrètement fascinant des collapsos ou le « fautur » des écolos moralistes, mais une sorte de « fuitur » délibérément bâtard et hybridé, sciemment hors-bord, dickien, barré, sauvage ». Il ne faut pas en rester à rêver « contre nous-mêmes, à croire qu’on ne s’en sortira pas ». Il fait appel aux « magineurs » et aux « magiciennes » pour construire un ïmagïnaïre avec des i tréma puisqu’il passe des Gafa à Gaïa ».