Des leçons devront être tirés des déboires de Pékin, face à la pollution

Publié le 29 juillet 2008 par Aurélia Denoual

Malgré tous les efforts des pouvoirs publics, la pollution globale persiste et vient encore d’attendre le double des normes de l’OMS, bien que la capitale chinoise a réussi à faire baisser ses niveaux de dioxyde de soufre sous le niveau fixé justement par l’OMS, tout simplement parce que personne ne peut empêcher l’arrivée de masses d’air polluées, poussées par le vent, venues d’ailleurs.


Aujourd’hui, certaines délégations s’inquiètent, dans ces conditions climatiques des performances de leurs athlètes, au point de vouloir les retirer de certaines compétitions d’endurance, alors qu’il aurait fallu y penser au moment où leur choix s’est porté sur Pékin, il y a 8 ans.


L’air à Pékin souffre du boom économique qui est à l’origine de l’augmentation de la pollution, bien que la ville a rempli beaucoup de ses engagements en termes d’infrastructures de transport et du traitement de l’eau et des déchets.