DEERFIELD BEACH, Floride–(BUSINESS WIRE)–13 juillet 2021–
L’allergie alimentaire est un problème croissant et qui n’est pas encore entièrement compris. Cependant, des chercheurs de l’Université de Leipzig (Allemagne) et de l’Université de Georgetown ainsi que Cell Science Systems ont peut-être trouvé la clé pour comprendre le type d’allergies alimentaires le plus difficile connu sous le nom d’allergies ou de sensibilités alimentaires retardées.
Les allergies ou sensibilités alimentaires retardées (également appelées allergies alimentaires non IgE) sont difficiles à identifier car les symptômes sont moins aigus et peuvent prendre des heures voire des jours à se développer. Les tests à domicile pour la détection retardée des allergies alimentaires (sensibilité), bien que populaires, manquent de validation. Par conséquent, il existe un grand besoin d’un test qui puisse identifier avec précision et de manière rentable les déclencheurs des allergies alimentaires retardées dans les aliments et les produits alimentaires.
Comme indiqué dans Allergie, Asthme Procédure, mai 2021, des chercheurs, soutenus par une subvention de Pfizer Consumer Health, ont découvert ce qui provoque de nombreux symptômes d’allergie alimentaire retardée non IgE. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33980341/.
Pour comprendre cette percée, il est important de clarifier les principales différences entre les allergies alimentaires immédiates (induites par les anticorps IgE) et les réactions de type retardé plus subtiles, qui ne sont pas induites par les anticorps :
Allergie, un terme inventé en 1906 par le médecin viennois Emil von Pirquet, était destiné à désigner réactions altérées aux facteurs environnementaux, à la fois aigu et retardé. Cependant, les contemporains du Dr von Pirquet ont décidé que le terme « allergie » devait être réservé uniquement aux réactions altérées qui provoquent des symptômes immédiats, tels que l’anaphylaxie induite par une allergie aux arachides.
En 1969, des chercheurs ont découvert les causes des allergies immédiates – un anticorps appelé Immunoglobuline E, ou IgE -, révolutionnant ainsi le diagnostic en faisant des tests sanguins pour les IgE spécifiques de l’allergène une alternative aux tests cutanés. C’était, et c’est toujours, une avancée majeure ; cependant, il ne traite pas les allergies alimentaires retardées.
En tant que cause du type retardé, les allergies alimentaires non IgE sont restées insaisissables, de nombreuses personnes se sont tournées vers une autre classe d’analyse des anticorps, les IgG. Cependant, de nombreuses études ont montré que les anticorps IgG ne sont pas la réponse. La production de ces anticorps, contrairement à l’occurrence beaucoup plus rare d’anticorps IgE (dans un rapport d’environ 1 anticorps IgE pour 10 000 anticorps IgG), n’est pas une constatation pathologique et signale simplement une exposition à l’aliment en question et non un sensibilité – un cas classique de confusion entre cooccurrence et causalité. Les anticorps IgG ne sont pas seulement non pathogènes, mais sont en fait protecteurs et désormais couramment quantifiés comme le marqueur le plus important de l’immunité contre les agents pathogènes tels que le virus du SRAS COVID-19.
Récemment, des chercheurs de Yale ont découvert que les réactions innées des cellules immunitaires à des aliments spécifiques, déterminées par le test ALCAT fourni par Cell Science Systems (Deerfield Beach, Floride), sont responsables des allergies alimentaires retardées et libèrent plus d’ADN et d’autres protéines associées, lorsque exposés à un aliment positif au test ALCAT. https://nutritionandmetabolism.biomedcentral.com/track/pdf/10.1186/s12986-018-0260-4.pdf
Il est maintenant connu que l’ADN acellulaire entraîne des maladies inflammatoires et auto-immunes, la mort par COVID-19, des maladies cardio-métaboliques et même des métastases cancéreuses, reliant ainsi des aliments spécifiques à des conditions qui peuvent affecter presque n’importe quelle partie du corps.
Ayant découvert que le test ALCAT identifie les aliments qui déclenchent la libération d’ADN va révolutionner les tests d’allergies alimentaires retardées, tout comme il y a des années, la découverte des IgE a révolutionné les tests d’allergie immédiate. Les personnes souffrant de migraine, d’arthrite, d’éruptions cutanées, de difficultés à perdre du poids, de rhinite pérenne, de fatigue, de troubles gastro-intestinaux et de nombreuses autres affections, obtiennent un soulagement substantiel en éliminant les aliments indiqués par le test ALCAT.
L’ADN libéré se présente parfois sous la forme de NET (Neutrophile Extracellular Traps), une réponse immunitaire innée destinée à piéger les agents pathogènes, mais peut, chez les personnes sensibles, provoquer des dommages systémiques aux tissus de l’hôte.
Les TNE, depuis leur découverte en 2004, font l’objet de recherches actives. Le tableau suivant montre les publications liées aux TNE/maladie sur le gouvernement américain. site web en avril 2021.
NETs – Résultats de la recherche PubMed – 10 avril 2021
TNE et inflammation – 1030 résultats
TNE et auto-immunité – 408 résultats
TNE et décès dus au COVID-19 – 8 résultats
TNE et thrombose- 32 résultats
TNE & complications COVID-19 – 33 résultats
TNE et maladies cardiovasculaires – 57 résultats
TNE et cancer – 3067 résultats
TNE et vieillissement – 169 résultats
TNE et démence – 54 résultats
TNE et maladies respiratoires – 529 résultats
TNE et obésité- 53 résultats
TNE et maladies oculaires – 72 résultats
TNE et pneumonie – 192 résultats
TNE et maladie du foie – 511 résultats
TNE et défaillance d’organes – 47 résultats
TNE et mucoviscidose – 56 résultats
6/10/2021 ROGER DEUTSCH/ SYSTÈMES DE SCIENCE CELLULAIRE
L’équipe Georgetown/Leipzig est allée plus loin. Travaillant avec le test ALCAT comme l’a fait le groupe de Yale, leur objectif était un « étude pilote… conçue principalement pour transmettre la découverte et la pertinence de l’ADN mitochondrial sous la forme de pièges extracellulaires neutrophiles (NET) en tant que nouveau mécanisme pathogénique pour les AG non-IgE à médiation immunitaire innée (allergie alimentaire). »
La recherche a montré, « que les neutrophiles traités avec des aliments qui provoquent des réponses LA (activation des leucocytes par le test ALCAT) positives peuvent contenir des niveaux accrus d’ADN d’origine nucléaire et mitochondriale » et conclu, « L’analyse de nos données a suggéré que l’induction de TNE contenant de l’ADN mitochondrial pro-inflammatoire pourrait fournir le lien critique nécessaire pour une meilleure compréhension de la pathogenèse de l’AF non IgE-médiée (allergie alimentaire). Ces découvertes peuvent non seulement faciliter de meilleurs tests de diagnostic de l’AF, mais devraient également améliorer la gestion clinique des maladies allergiques et autres maladies inflammatoires. L’utilisation du test ALCAT® peut aider à prévenir les réponses immunitaires anormales, allégeant ainsi le fardeau de la maladie et les dépenses de santé excessives. C’est une aubaine pour les nombreuses personnes qui veulent atteindre leur meilleure santé possible.
À propos de Cell Science Systems, Corp. (CSS) www.CellScienceSystems.com
Cell Science Systems, un laboratoire agréé CLIA et un fabricant de dispositifs médicaux enregistré auprès de la FDA, est le développeur et le seul fournisseur du test ALCAT®. CSS propose également plusieurs tests visant à évaluer la nutrition, la santé intestinale, la fonction métabolique et la prévention. Cell Science Systems est la seule entreprise à avoir été reconnue en tant qu’entreprise de l’année, Test d’intolérance alimentaire – Amérique du Nord par Frost & Sullivan.
Par l’intermédiaire de sa filiale à 100 % à Potsdam, en Allemagne, CSS dessert l’Europe et le Moyen-Orient. En partenariat avec PreviMedica Group, LLC, CSS propose également des programmes de santé personnalisés et des conseils diététiques et nutritionnels aux particuliers, aux entreprises et aux organisations.
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