« Au sud de la frontière, à l’ouest du soleil », Haruki Murakami. Avec un auteur japonais, on s’attend à une grande finesse et à une dose d’onirisme. Et on a raison, l’adjectif que j’utiliserais pour caractériser ce roman c’est « onirique ». Est-ce que c’est vrai, est-ce que c’est faux ? Libre au lecteur de choisir. Personnellement, je n’aime pas trop choisir. Noir ou bleu marine ? Jupe longue ou pantalon ? Jupe ou robe ? Vernis ou pas vernis ? Vincent ou Morgan ? Morgan ou Vincent ? Appelle ou appelle pas ? Choisir, ça peut-être chiant. C’est pour ça que j’aime bien le Destin.
Ces derniers jours, je n’ai rien trouvé en librairie qui me fasse envie. Je vais donc plonger dans ma pile de stock et il va falloir opter :
- Reprendre « Les corrections » de Jonathan Franzen
- Attaquer « Le ravin » JC Oates, une bio de Billie Holiday, « Les racines du mal » de Dantec ou « Cochon d’allemand » de Knud Romer.
Publié par les diablotintines - Une Fille - Mika - Zal - uusulu