Quand on se perd à penser, par faiblesse ou méconnaissance du sujet à mon humble avis, que l’inventaire du registre de l‘acaberie a déjà coché toutes les cases, comme leurs spécialités que sont les violences policières, l’homophobie, le sexisme et le racisme ou la xénophobie, on peut toujours être surpris bien au delà par leur niveau de dégueulasserie particulière. Ainsi, aujourd’hui, j’apprends qu’un policier vient d’écoper d’une peine de prison – avec sursis bien sûr, le contraire aurait été très étonnant – pour avoir frappé à coups de poings… un lycéen handicapé. Voici les faits :
source« Il a quand même été interdit de 6 mois d’exercice« ; me direz vous. Mouais. Voilà un jugement qui ne me satisfait pas vraiment. Outre qu’il n’écope d’aucune peine de prison ferme mais seulement de sursis, comme cela est tristement habituel quelle que soit la gravité des faits, avec ces gens là, il pourra tout de même de nouveau exercer son sadisme ailleurs, sur une autre personne. Et continuer de mentir, pour couvrir ses exactions. Qui l’en empêchera en effet ? Certainement pas sa hiérarchie… On sait bien en effet ici quelle place de choix tient le mensonge dans cette institution du monopole de la violence…