Le logo de Novartis est visible dans l’usine de thérapie cellulaire et génique du fabricant suisse de médicaments à Stein, en Suisse, le 28 novembre 2019. REUTERS/Arnd Wiegmann
ZURICH, 1er juillet (Reuters) – Le fabricant suisse de médicaments Novartis (NOVN.S) pourrait entrer dans le domaine de la technologie de l’acide ribonucléique messager (ARNm), qui est devenue essentielle dans le développement de vaccins pendant la pandémie de coronavirus, a déclaré le président Joerg Reinhardt dans une interview à un journal.
Dans l’interview d’Aargauer Zeitung, Reinhardt a également souligné l’intérêt renaissant de l’entreprise pour les produits anti-infectieux qui a également été motivé par la pandémie.
“La technologie de l’ARNm s’est avérée être une option intéressante dans cette situation et bien sûr, chaque société de recherche se demande si elle devrait investir davantage dans ce domaine”, a-t-il déclaré au journal suisse.
“Novartis fait de même et nous avons la discussion cette semaine au comité exécutif puis en août au conseil d’administration”, a-t-il ajouté sans être plus précis.
Novartis avait rejoint de nombreuses autres sociétés en 2018 lorsqu’elle a abandonné la recherche antivirale et antibactérienne dans une installation en Californie, car elle a conclu que la probabilité de succès était relativement faible et souhaitait rediriger les ressources vers d’autres domaines comme la thérapie génique.
“Nous réévaluons maintenant cela”, a déclaré Reinhardt, alors que la pandémie a ravivé l’intérêt de l’entreprise pour les anti-infectieux.
En plus des antiviraux contre le coronavirus qu’elle développe en partenariat avec Molecular Partners (MOLN.S), la branche de recherche de Novartis basée aux États-Unis travaille sur un inhibiteur de protéase oral – un médicament qui cible les enzymes qui aident le coronavirus à se copier à l’intérieur des cellules humaines – qui, espère-t-il, pourrait être efficace dans une lutte à long terme contre COVID-19.
Reportage de Michael Shields et John Miller; Montage par Clarence Fernandez
Nos normes : Les principes de confiance de Thomson Reuters.
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Le logo de Novartis est visible dans l’usine de thérapie cellulaire et génique du fabricant suisse de médicaments à Stein, en Suisse, le 28 novembre 2019. REUTERS/Arnd Wiegmann
ZURICH, 1er juillet (Reuters) – Le fabricant suisse de médicaments Novartis (NOVN.S) pourrait entrer dans le domaine de la technologie de l’acide ribonucléique messager (ARNm), qui est devenue essentielle dans le développement de vaccins pendant la pandémie de coronavirus, a déclaré le président Joerg Reinhardt dans une interview à un journal.
Dans l’interview d’Aargauer Zeitung, Reinhardt a également souligné l’intérêt renaissant de l’entreprise pour les produits anti-infectieux qui a également été motivé par la pandémie.
“La technologie de l’ARNm s’est avérée être une option intéressante dans cette situation et bien sûr, chaque société de recherche se demande si elle devrait investir davantage dans ce domaine”, a-t-il déclaré au journal suisse.
“Novartis fait de même et nous avons la discussion cette semaine au comité exécutif puis en août au conseil d’administration”, a-t-il ajouté sans être plus précis.
Novartis avait rejoint de nombreuses autres sociétés en 2018 lorsqu’elle a abandonné la recherche antivirale et antibactérienne dans une installation en Californie, car elle a conclu que la probabilité de succès était relativement faible et souhaitait rediriger les ressources vers d’autres domaines comme la thérapie génique.
“Nous réévaluons maintenant cela”, a déclaré Reinhardt, alors que la pandémie a ravivé l’intérêt de l’entreprise pour les anti-infectieux.
En plus des antiviraux contre le coronavirus qu’elle développe en partenariat avec Molecular Partners (MOLN.S), la branche de recherche de Novartis basée aux États-Unis travaille sur un inhibiteur de protéase oral – un médicament qui cible les enzymes qui aident le coronavirus à se copier à l’intérieur des cellules humaines – qui, espère-t-il, pourrait être efficace dans une lutte à long terme contre COVID-19.
Reportage de Michael Shields et John Miller; Montage par Clarence Fernandez
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