les générations de cyclistes à musette longent les bassins de l'ingénieurdes phares et balises avant de s'engouffrer,
sous les hurlements de la sirène, dans le ventre de l'usine à navires.Bien sur, peu à peu, au fil du courant, les métallos se sont motorisés,de Solex en Mobylettes, (et toujours autant de chutes en travers des rails humides)aux véhicules à quatre roues plus confortables.
La route des Chantiers poursuit inexorablement sa mue et sans doute que les ouvriers d'hierauraient du mal à la reconnaitre aujourd'hui;seulement , son tracé rectiligne c'est sa madeleine de Proustsa parthénogenèse communautaire,une émotion durable.
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"La très belle revue Reliefs poursuit son exploration du monde avec un numéro spécial sur les prairies. Avec des textes qui prennent le temps et toujours bellement illustrés, nous partons à la reconquête des estives, nous découvrons les espèces qui se plaisent dans l’infinie diversité des prairies du globe, nous découvrons avec Alain Corbin que « le désir d’herbe est bien vivant ». Un beau numéro, à lire allongé sur l’herbe de l’été." source: Reporterre
RELIEFS \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\|||||||||||||||||||[[[[[[[[[
" Et tantum constans in levitate sua - solo una legge serba : in esser lieve"
"être constant seulement dans la légèreté"
Ovide extrait de: "Tristes"