Selon l’Agence gouvernementale américain de recherches géologiques, l’Arctique renfermerait quelques 90 milliards de barils de pétrole et 600 milliards de mètres cubes de gaz, dans une région délimitée par le cercle du Pôle nord qui concerne la Russie, les Etats Uni, le Canada et la Scandinavie qui risquent de se disputer les permis d’exploration.
Pour le moment, il ne s’agit que de réserves non prouvées, qui conservent un certain degré d’incertitude, tout en étant considérées comme techniquement exploitables et qui représentant respectivement 13 et 30% des réserves de pétrole et du gaz mondiales non prouvées.
Pour relativiser cette découverte, il faut comparer ces 90 milliards de barils de pétrole de l’Arctique, une fois prouvés, aux 1 238milliards de barils de réserves mondiales prouvées, face à une consommation mondiale de 30 milliards der barils/an, mais qui augmente d’année en année.