Aux dires des autorités, la qualité de l’air serait bonne à Pékin 70% de l’année et, pendant les 30% restants, elle ne répondrait pas aux normes souhaitables, ce qui, malheureusement semble être le cas en ce moment, ce qui fait envisager un report des épreuves d’endurance en cas de pollution trop élevée.
Pourtant, les autorités locales ont prises des mesures draconiennes pour limiter le pollution et plus particulièrement en fermant des usines autour de Pékin, en instaurant un système de circulation alternée et en retirant des centaines de millier de véhicules trop polluants de la circulation, par contre seul un bon coup de vent et une pluie fine pourraient disperser la pollution qui s’est accumulée au dessus de la zone urbaine où se situent le site olympique.
Le tout est de savoir si cette situation était prévisible et si ce risque a été intégré il y a 8 ans, dans le choix de Pékin pour les jeux d’été 2008.