Puisque ce monde est triste et que ton âme pure,
Ô mon amie, un jour, doit aller chez les morts,
Oh ! viens t’asseoir parmi les fleurs sur la verdure,
Avant que d’autres fleurs s’élèvent de nos corps.
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Omar Khayyâm (1048-1131) – Traduit du persan par Jean Lahor.
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