Un texte de Mélodie Nelson publié pour les abonnés de RDS. Un abonnement à Reflet de Société soutient notre intervention auprès des jeunes.
Selon leurs détracteurs, les poupées et les robots seraient principalement vus comme des objets passifs, ce qui permettrait de passer outre la notion de consentement. Ce genre d'argumentaire revient régulièrement lorsqu'il s'agit pour un groupe de pression ou un autre de forcer la fermeture de maisons de poupées sexuelles, ce qui se produit dans plusieurs cas.
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