Dans ce JDD numéro spécial, le "celui qui se prenait pour Napoléon" révèle son addiction au jeu de dés et la frénésie qu'il a eue à dévorer "La magie des dés" des Editions Marlo.
On apprendra, qu'avant d'aller voir les petites femmes de Pigalle, il jouait au dé pour savoir quel chiffre désignerait celle qui ferait sa soirée ! Par exemple, si le 6 tombait, c'était Julie, avec le 4 il s'offrait à Bérénice.Il laissait faire le hasard, d'une même manière, pour savoir si Alice Dona ou Yves Gilbert serait celle (ou celui) qui donnerait un corps musical à son nouveau texte.S'il n'avait pas eu de ballon rouge quand il était gosse dans son quartier, son papa, chanteur d'opérette, lui avait offert un jeu de 421 du plus bel effet ! Là, naquit sa passion débridée des dés !Quand avec les 6 dés, il s'était décidé, c'est au 10.000 qu'il s'était adonné sans le dire à Dona au doux nez.Et durant l'entracte, avant de reprendre un nouveau tour de chants, il jouait avec son imprésario.Il fallait qu'on s'y fasse ! Il fallait, con, 6 faces !