Henri Salvador l’a repris et traduit avec “J’aime tes g’noux”. Mais l’original, qui mettait des fourmis dans les épaules et les hanches au début (je crois) des années 70, est de Shirley et Cie.
On peut en voir une version ultérieure, avec un “Cie” se dandinant, hélas, avec l’élégance d’un dindon, là.