Dans le ciel sombre d’un mois de Mai
Qui cette année en grande fraîcheur se défait,
Ces êtres étrangement éclairés,
Des pentecôtistes peut-être, irradiés
Par ce feu sacré qui serait le Saint-Esprit ?
Les voilà à parler des langues outre l’hébreu
Si bien qu’ils ne s’entendent plus entre eux.
Et sous cette céleste lumière,
Divine peut-être
Car, d’où pourrait-elle naître,
S’engagent alors conflits et guerres séculaires.
JC Tannenbaum directeur de le station d’art météorologique