Les différentes mesures que j’ai prises en matière de marketing pour ma petite activité accessoire indépendante commencent à porter leurs fruits. Je me suis retrouvé un nouveau client régulier qui semble vouloir tenir bon cette fois. Je croise les doigts. J’aimerais encore trouver un deuxième prospect ce qui me donnera l’assurance que j’arrive à trouver assez facilement des clients et les maintenir, au moins durant un certain temps. Actuellement je peux concilier sans problème et sans me stresser deux chalands avec mon activité salariée. Quand j’aurai mes deux clients habituels il ne restera plus qu’à franchir la dernière étape, celle de dire au revoir à mon activité salariée. Je prendrai alors encore deux usagers supplémentaires, ce qui fait que je serai occupé une bonne dizaine d’heures par semaine, mon objectif final.
Dans l’intervalle, j’ai ouvert un compte dédié à mes petites activités accessoires indépendantes (coaching, site Internet, publications). Les revenus qui en proviennent sont ainsi directement versés sur ce compte, tout comme sont déduites les dépenses respectives. Je vois donc, lentement, mais sûrement, progresser les flux d’argent que je parviens à générer de mon propre chef, sans dépendre d’un employeur. Cela me rappelle les premiers revenus que je tirais de mes dividendes. Ça me donne une impression de sécurité supplémentaire, même si les montants de mes activités accessoires sont bien modestes par rapport à ceux qui proviennent de mes placements. L'autre avantage de distinguer ces rentrées d'argent, bien que relativement modérées, c'est que cela me rappelle la valeur de l'argent. En bourse, on a en effet parfois tendance à l'oublier...
Je suis bien content d’avoir cette perspective de quitter mon activité salariée à brève échéance, car ça devient de plus en plus difficile. Il y a eu plusieurs changements au niveau de la hiérarchie, impliquant des méthodes de travail inquisitrices et de plus en plus de tâches administratives rébarbatives. Sans compter que les séances se multiplient elles aussi. Le fait d’avoir la tête déjà ailleurs n’aide d’ailleurs pas à me motiver, même si ça me permet de tenir le coup.
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