Aujourd’hui, c’est la journée nationale des mémoires de la traite de l’esclavage et de leurs abolitions. Le choix de cette date du 10 mai correspond au jour d’adoption de la loi Taubira en 2001, qui a permis la reconnaissance de l’esclavage comme crime contre l’humanité.
Aussi, je lui laisse la parole puisque c’est elle qui en parle le mieux…
En outre, voilà ce qu’elle dit aujourd’hui de cette commémoration là…
Son silence est en effet édifiant d’un certain continuum idéologique et historique, dans lequel la thèse du roman national a plus de poids que le sens de l’histoire, dans lequel ce médiocre petit président là apparait si terriblement (et de plus en plus) conservateur en dépit de son jeune âge… Mais bon, avec de tels conseillers de l’ombre que les siens, comment encore s’en étonner, n’est-ce pas ? 😉
En complément, on pourra lire également quelqu’un.e qui a bien sûr également voix au chapitre sur le sujet…
On lira également utilement cet autre article relevant un autre silence tout aussi coupable que celui de Macron… puisque responsable.
Et pendant ce temps là, en Angleterre…
Voir que l’église anglicane se montre plus courageuse que Macron et la municipalité bordelaise, voilà qui en dit bien assez long pour moi.