Un immeuble de deux étages dont il ne reste que les piliers de soutènement et la structure, vitres brisées aux rideaux entortillées battant au vent ; le long d’une route qui ne serpente plus pour personne en direction d’une montagne d’un vert qui console. Certains clichés le remuent plus que d’autres, sans qu’il ne comprenne pourquoi au juste : il y a des tsunamis dont on se remet plus vite que d’autres.