Avec un artiste ou un travailleur de la culture sur quatre qui perd son emploi en 2020, les industries artistiques du Canada ont été durement touchées par la pandémie du COVID-19. Le secteur culturel au Québec – qui abrite 22 p. 100 de tous les artistes au Canada – ne fait pas exception.
En guise de réponse, Concordia Faculté des beaux-arts a lancé deux microprogrammes intensifs visant à recycler les personnes dans le domaine des arts qui souhaitent passer à de nouvelles opportunités créatives et professionnelles.
Concordia Microprogramme en scénarisation et production cinématographique et le microprogramme en conception Web et interface utilisateur dotera les diplômés des compétences nécessaires pour poursuivre des travaux dans ces domaines.
«Les nouveaux microprogrammes montrent comment les universités peuvent réagir rapidement aux crises dans le secteur des arts», déclare Annie Gérin, doyen de la Faculté des Beaux-Arts.
«De nombreux artistes et travailleurs culturels se retrouvent maintenant dans des situations précaires. Nous espérons que ces offres aideront à élargir leur base de compétences afin qu’ils puissent appliquer leur expertise dans plusieurs domaines artistiques. »
Les programmes reflètent également la longue histoire de Concordia de rendre l’éducation universitaire accessible aux gens tout au long de leur vie, peu importe leur parcours, ajoute Gérin.
«Nous voulons accroître la diversité de notre corps étudiant en offrant ces microprogrammes ciblés à court terme aux candidats qui ne sont actuellement pas en mesure d’entreprendre un baccalauréat plus traditionnel en beaux-arts.»
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