Du plumitif de la droite municipale à celui qui signe « l’union des droites », et qui avant les municipales était encore adjoint au maire avant de tourner sa veste et de trahir « ses amis » pour le RN, ils se « lâchent » contre le département.
L’os à ronger : Le boulevard de Verdun !
Ils ne supportent pas que Véronique Calueba s’attache malgré eux à défendre au département les intérêts.de la ville et des sétois. Ils enragent parce que le département a décidé de lancer les travaux de la réfection de la voierie du boulevard de Verdun sans plus attendre, parce que las du blocage de la Ville, qui depuis plus de dix ans se refuse à négocier avec la collectivité départementale pour intégrer cet axe désormais urbain, afin qu’il soit enfin aménagé.
Il faut dire que Monsieur Commeinhes avait, ces cinq dernières années, d’autres chats à fouetter, occupé qu’il était avec sa majorité, Monsieur Pacull compris (qui a tout voté), à délivrer les permis de construire qui ont transformé le boulevard en boulevard des promoteurs, où les immeubles ne sont pas que laids, ils sont aussi bourrés de mal façons, à l’image du 1er d’entre eux planté sur le site de l’ancienne caserne de pompiers.
Dans les années 96/2001, c’est pourtant avec le département que la ville de Sète, dans le cadre d’un accord négocié, a pu bénéficier d’un contrat « grande ville » qui a permis de réaliser, avec les financements à la clé, la réfection du boulevard Martelli, le nouveau pont de la Victoire, la place de l’Isle, le lancement du projet de la promenade Maréchal Leclerc, le boulevard Joliot Curie.
La coopération étroite de la ville et du département a même permis de débloquer des fonds de l’Etat et de l’Europe ; Mais à ce moment-là le maire de la ville s’était François Liberti.
Les faux culs d’aujourd’hui devaient s’en souvenir !
Section PCF de Sète