Un projet en trois parties de l’artiste français JR attire l’attention du monde entier sur les impacts de l’extraction intensive de l’eau en Australie sur l’environnement, les agriculteurs locaux et la communauté autochtone. «Homélie à la campagne» s’est conclu de façon dramatique avec une procession de quatre portraits monumentaux à travers le désert des lacs Menindee en Nouvelle-Galles du Sud, symbolisant l’interconnexion entre les sujets et l’écosystème.
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Nouveau artiste français JR
Les portraits de près de 100 pieds de long ont été portés par les sujets eux-mêmes, y compris Badger Bates, un aîné de Baakandji et porte-parole sur la rivière Back, les vergers Rachel Strachan et Alan Whyte, et Wayne Smith, un agriculteur de sixième génération. Tous ont été touchés par le déclin de la rivière Darling / Baaka causé par changement climatique, une irrigation inadéquate et la sécheresse.
Les agriculteurs australiens et les peuples autochtones portent un portrait massif du verger Alan Whyte à travers le désert dans le cadre de l’artiste français JR’s
Les agriculteurs australiens et les peuples autochtones portent un portrait massif de la vergériste Rachel Strachan à travers le désert dans le cadre de l’artiste français JR’s
Les agriculteurs australiens et les peuples autochtones portent un portrait massif de l’agriculteur de sixième génération Wayne Smith à travers le désert dans le cadre de l’artiste français JR’s
La rivière est un affluent majeur du système Murray-Darling River, le plus grand du continent australien, et sa santé est directement liée à la santé de la culture Baakandji, offrant de la nourriture, des fibres et un abri, entre autres ressources précieuses. Les sujets du portrait font partie de ceux qui appellent à un nouveau système de gestion des rivières basé sur les pratiques de gestion des terres autochtones, y compris l’irrigation durable des fermes et des vergers.
«Baaka est le nom de notre belle rivière, et c’est ce que sont les Baakandji, les gens de la rivière», dit Badger Bates. «Baakandji n’a jamais quitté notre terre, nous sommes toujours là, nous aimons notre terre et elle nous aime. Nous avons des histoires qui expliquent sa création et comment tout fonctionne, donc nous savons comment nous en occuper.
Nouveau artiste français JR
Commandé par la National Gallery of Victoria pour le Triennale GNV, «Homily to Country» se compose également d’une chapelle en plein air incrustée de vitraux présentant les mêmes portraits dans le jardin NGV et d’un film d’accompagnement, qui comprend lui-même des images de la procession.
«À travers ce projet ambitieux, JR explore l’un des problèmes écologiques les plus importants auxquels l’Australie est confrontée aujourd’hui», a déclaré Tony Ellwood, directeur de NGV, ajoutant que «la procession dans le district de Menindee Lakes dans le cadre de« l’homélie au pays »de JR. travaille dans le cadre de la triennale du GNV, mettant en valeur les voix locales importantes et accordant une attention mondiale aux préoccupations environnementales de la rivière Murray-Darling. »
Nouveau artiste français JR
«Homily to Country» a commencé comme une continuation de JR’s Projet «Omelia Contadina», qui brille une lumière les agriculteurs italiens confrontés à bon nombre des mêmes problèmes. JR s’est rendu en Australie au début de 2020, avant le début de la pandémie, pour rencontrer les vergers qui ont été forcés d’enlever et de brûler les vergers commerciaux autrefois prospères de leurs familles en raison du manque de flux d’irrigation.
«J’ai commencé ce projet en Italie, très loin de l’Australie, mais les agriculteurs ont des problèmes similaires: protéger leur environnement et vivre décemment de leur travail», explique JR. «Comme beaucoup de personnes cette année qui n’ont pas pu participer à des moments importants de la vie, je suivrai le cortège à distance mais je ressentirai sûrement la présence de toutes les personnes rassemblées.»
Le portrait en noir et blanc signature de JR ne manque jamais d’entamer des conversations sur des sujets importants, tels que l’homogénéisation de l’architecture, le sort des jeunes sans papiers aux États-Unis et le bien-être des personnes incarcérées. Les projets précédents incluent une immense peinture murale de Brooklyn représentant 1 000 New-Yorkais dans «Chronicles», une réflexion panneau d’affichage temporaire le long de la frontière américano-mexicaine dans “Giants”, une visualisation des immigrants qui sont passés par Ellis Island dans «Un cadre», et des photos de personnes âgées locales éclaboussées sur les façades des bâtiments urbains dans «Les rides de la ville».
Un projet en trois parties de l’artiste français JR attire l’attention du monde entier sur les impacts de l’extraction intensive de l’eau en Australie sur l’environnement, les agriculteurs locaux et la communauté autochtone. «Homélie à la campagne» s’est conclu de façon dramatique avec une procession de quatre portraits monumentaux à travers le désert des lacs Menindee en Nouvelle-Galles du Sud, symbolisant l’interconnexion entre les sujets et l’écosystème.
Nouveau artiste français JR
Les portraits de près de 100 pieds de long ont été portés par les sujets eux-mêmes, y compris Badger Bates, un aîné de Baakandji et porte-parole sur la rivière Back, les vergers Rachel Strachan et Alan Whyte, et Wayne Smith, un agriculteur de sixième génération. Tous ont été touchés par le déclin de la rivière Darling / Baaka causé par changement climatique, une irrigation inadéquate et la sécheresse.
Les agriculteurs australiens et les peuples autochtones portent un portrait massif du verger Alan Whyte à travers le désert dans le cadre de l’artiste français JR’s
Les agriculteurs australiens et les peuples autochtones portent un portrait massif de la vergériste Rachel Strachan à travers le désert dans le cadre de l’artiste français JR’s
Les agriculteurs australiens et les peuples autochtones portent un portrait massif de l’agriculteur de sixième génération Wayne Smith à travers le désert dans le cadre de l’artiste français JR’s
La rivière est un affluent majeur du système Murray-Darling River, le plus grand du continent australien, et sa santé est directement liée à la santé de la culture Baakandji, offrant de la nourriture, des fibres et un abri, entre autres ressources précieuses. Les sujets du portrait font partie de ceux qui appellent à un nouveau système de gestion des rivières basé sur les pratiques de gestion des terres autochtones, y compris l’irrigation durable des fermes et des vergers.
«Baaka est le nom de notre belle rivière, et c’est ce que sont les Baakandji, les gens de la rivière», dit Badger Bates. «Baakandji n’a jamais quitté notre terre, nous sommes toujours là, nous aimons notre terre et elle nous aime. Nous avons des histoires qui expliquent sa création et comment tout fonctionne, donc nous savons comment nous en occuper.
Nouveau artiste français JR
Commandé par la National Gallery of Victoria pour le Triennale GNV, «Homily to Country» se compose également d’une chapelle en plein air incrustée de vitraux présentant les mêmes portraits dans le jardin NGV et d’un film d’accompagnement, qui comprend lui-même des images de la procession.
«À travers ce projet ambitieux, JR explore l’un des problèmes écologiques les plus importants auxquels l’Australie est confrontée aujourd’hui», a déclaré Tony Ellwood, directeur de NGV, ajoutant que «la procession dans le district de Menindee Lakes dans le cadre de« l’homélie au pays »de JR. travaille dans le cadre de la triennale du GNV, mettant en valeur les voix locales importantes et accordant une attention mondiale aux préoccupations environnementales de la rivière Murray-Darling. »
Nouveau artiste français JR
«Homily to Country» a commencé comme une continuation de JR’s Projet «Omelia Contadina», qui brille une lumière les agriculteurs italiens confrontés à bon nombre des mêmes problèmes. JR s’est rendu en Australie au début de 2020, avant le début de la pandémie, pour rencontrer les vergers qui ont été forcés d’enlever et de brûler les vergers commerciaux autrefois prospères de leurs familles en raison du manque de flux d’irrigation.
«J’ai commencé ce projet en Italie, très loin de l’Australie, mais les agriculteurs ont des problèmes similaires: protéger leur environnement et vivre décemment de leur travail», explique JR. «Comme beaucoup de personnes cette année qui n’ont pas pu participer à des moments importants de la vie, je suivrai le cortège à distance mais je ressentirai sûrement la présence de toutes les personnes rassemblées.»
Le portrait en noir et blanc signature de JR ne manque jamais d’entamer des conversations sur des sujets importants, tels que l’homogénéisation de l’architecture, le sort des jeunes sans papiers aux États-Unis et le bien-être des personnes incarcérées. Les projets précédents incluent une immense peinture murale de Brooklyn représentant 1 000 New-Yorkais dans «Chronicles», une réflexion panneau d’affichage temporaire le long de la frontière américano-mexicaine dans “Giants”, une visualisation des immigrants qui sont passés par Ellis Island dans «Un cadre», et des photos de personnes âgées locales éclaboussées sur les façades des bâtiments urbains dans «Les rides de la ville».
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