Le gouvernement, en pleine crise, est parvenu à diviser le taux de défaillance des entreprises quasiment par deux. Je suis persuadé qu'il va réitérer son exploit.
La difficulté que cela pose est que nos entreprises étaient déjà particulièrement fragiles, or, peu cherchent à s'améliorer, car elles attendent un retour d'avant, qui ne reviendra pas.
Ce qui signifie une économie encore plus faible, alors que le pays aura pris encore plus de dettes.
S'il ne parvient pas à faire que ses entreprises se transforment, si l'inflation repart, n'y a-t-il pas risque de faillite ? Argentine, étude de cas ?