" Âgé de treize ans, il apprend auprès d'un maître du haikai les premiers rudiments de ce genre. "
" Devant sa retraite, il plante un bananier, un basho, offert par l'un de ses disciples - ce qui lui vaudra son pseudonyme. "
Sakura
Nan no ki no hana towa shirazu moi kana chiru yanagi aruji mo waresakura ni akete
shimai keri kane o kiku
Les fleurs de quel arbreimpossible de savoir
mais un tel parfum !
Le saule s'effeuilleet le maître et moi-même
entendons la cloche
La nuit de printempss'achève, le jour se lève
sur les cerisiers !
Le livre : Basho Cent onze Haïkus -Traduit par Joan Titus-Carmel - Editions Verdier