Nouvelles de Scott Fitzgerald. A une exception, cela ne parle pas de gens extrêmement riches, comme habitude, mais d'un peu de tout, y compris d'une histoire fantastique, celle du titre. L'idéal américain ? Un aventurier découvre une montagne de diamant et y installe sa famille, avec château et armée d'esclaves. Il déploie des trésors d'invention pour que son royaume soit ignoré de tous. Jusqu'à proposer un marché à Dieu.
Scott Fitzgerald est un conteur d'histoires. Mais leur chute, qui se veut inattendue ?, me laisse sur ma faim. La curiosité de ces nouvelles, je crois, est la découverte d'une veine inconnue de Scott Fitzgerald : un humour qui peut être féroce, en particulier lorsqu'il parle d'Hollywood. Aurait-il pu, au lieu des se faire engloutir dans les années folles, regarder son époque de l'extérieur, et en faire une critique amusée ?